À la fin de l’été 2017, jamais je n’aurais pensé m’acheter une voiture électrique. Trop cher pour mes moyens me disais-je. Peut-être autour de 2022. On allait voir.
Puis, un matin d’août, j’ai découvert le site Turo. La possibilité de louer une voiture à des particuliers. Tout de suite, je me suis dit : «Hé, je pourrais louer une électrique quelques jours, question de voir le feeling. Jamais je n’ai conduit une voiture électrique de ma vie!»
C’est ainsi que je me suis retrouvé en lien avec une femme de Saint-Jérôme: «Oui, j’ai une Volt à louer. Trois jours? Pas de problème!» Aussitôt dit, aussitôt fait. Dès la première journée, j’ai capoté. J’aimais tout : la conduire, la recharger, voir à l’écran le nombre de kilomètres restants. J’étais tout excité!
Après cette location, c’était plus fort que moi, j’avais tout le temps le nez dans mon ordi. Et c’est là que j’ai découvert qu’il y avait une subvention de 4000$ pour les électriques de seconde main venant de l’extérieur du Québec et des Spark EV de Californie pour pas cher.
Mais, c’est vraiment en en essayant une quelques jours plus tard que le coup de foudre m’est tombé dessus. Mignonne, puissante, amusante à conduire. Et en choisissant le modèle 1LT sans port de recharge rapide, je pouvais me payer une voiture électrique qui avait l’air d’une neuve pour moins de 15,000$. Malade!!!!!
Ma décision était prise : je m’achète une voiture électrique! Finalement, j’ai conclu la vente par téléphone sur un modèle 2LT avec recharge rapide en transit vers le Québec en donnant simplement mon numéro de carte de crédit à un concessionnaire Chevrolet de Saint-Hyacinthe.
J’ai dû attendre deux semaines avant de pouvoir aller la chercher. Ça m’a paru une éternité!
Deuxième chronique : Qu’est-ce que j’ai à aimer ma Spark de même ?