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Essai routier de la Chevrolet Volt – Bilan d’une semaine en voiture électrique

Toyota Prius chauffe-moteur consommation essence hiverJ’aimerais bien toutefois avoir l’opportunité de mettre la Chevrolet Volt à l’essai durant la période hivernale, question de constater l’effet de la température sur son autonomie ainsi que sur sa consommation d’essence. Cela pourrait me donner une idée de la différence de consommation par rapport à la Prius et des économies qu’il serait possible de réaliser.
Intérieur Chevrolet Volt siège en cuirAdvenant que je me procure une Volt,  ce serait toutefois une version de base, car je ne serais pas prêt à débourser pour les options et le luxe supplémentaire, mon but étant, avant tout, de pouvoir rouler en mode électrique sans avoir de contrainte en ce qui concerne la distance totale à parcourir. Cela n’est actuellement pas possible avec les voitures purement électriques. A cet effet la technologie Voltec de la Chevrolet Volt est une solution plutôt bien adaptée aux familles qui ne possèdent qu’une voiture et qui désirent diminuer leur dépendance aux énergies fossiles . Et cette technologie n’a pas terminé d’évoluer. La preuve, la version 2013 de la Chevrolet Volt permettra de parcourir 5 km de plus en mode tout électrique, la chimie de la batterie ayant été améliorée.
Mais le choix du prochain véhicule dépendra aussi de CHÉRIE, qui préférerait que l’on se procure une voiture de type “familiale”. Une Ford CMAX Energi ou une Toyota Prius V branchable (je sais, ça n’existe pas encore), ça pourrait être bien, non ?
Station-service Petro-Canada dépendance pétroleSeul effet pervers de cet essai, j’éprouve beaucoup moins de plaisir à conduire ma Toyota Prius. En reprenant ses commandes, il m’a sauté aux yeux que c’était vraiment une voiture à essence. Oui elle consomme moins qu’une voiture à motorisation traditionnelle et permet de rouler en mode électrique dans certaines circonstances, mais on ne parle pas de la même chose. Le bruit du moteur à essence fait toute la différence… Et ça ne brise en rien notre dépendance que nous entretenons envers le pétrole.
Par contre, petite question qui me turlupine. Où le gouvernement prendra-t’il l’argent qu’il perdra sur les taxes perçues sur la vente de l’essence lorsque les Québécois adopteront massivement la voiture électrique ? A ma connaissance, ce n’est pas moins de 25% du prix de chaque litre d’essence vendu qui est perçu en taxes.
Voici quelques photos que j’ai prises durant ma période d’essai de la Chevrolet Volt:
 

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