Photo: La superbe Tesla S P85D de Jacques à L’Islet en septembre 2016.
Parle, parle, jase, jase, cela fait un bon moment que je ne suis pas venu vous causer. Pourtant, ce ne sont pas les évènements qui manquent.
MA TESLA DE RETOUR EN SELLE
Tenez, après 2 semaines et demie, on m’a finalement rendu ma Tesla P85D qui avait été hospitalisée parce que le moteur avant avait rendu l’âme. Si cette pause a été aussi longue, c’est qu’il fallait remplacer le fréon du système d’air conditionné qui, m’a-on-dit était en rupture de stock (« back order » dans le langage des gars de char). Finalement, tout est sous contrôle et j’ai eu le bonheur de conduire pendant tout ce temps la nouvelle Tesla S P100D chaussées de bottes d’hiver. Sale temps pour mesurer précisément les accélérations, mais la différence avec ma monture habituelle est sidérante. Méchant bolide. Mais, est-ce que cette poussée d’adrénaline vaut 10 000$, j’en doute.
IL Y A 2 JACQUES DUVAL
Incidemment, j’ai rencontré mon homonyme qui fait qu’il y a au Québec 2 Jacques Duval. Bibi et le patron de l’agence de publicité Marketel. J’ai assez souvent reçu des coups de fil, notamment de Pierre Karl Péladeau, qui me racontait sa vie jusqu’à je lui dise qu’il parlait au mauvais Jacques Duval. Ou cette autre fois où j’allais récupérer ma Mercedes après les heures d’ouverture du concessionnaire et que j’attendais en ligne derrière un individu que je ne connaissais pas à l’époque et qui me précédait dans la file d’attente. Le préposé à l’accueil cru à une blague quand il fut confronté à deux clients du même nom l’un après l’autre.
Cela dit et toujours à propos de la Tesla Model S, celui qui m’a initié au monde de la voiture électrique, Richard Petit de Kébec Son, s’est départi de la sienne. La raison ? Elle coûte trop cher en « tickets ». Mais Richard le plus grand passionné de voitures sophistiquées que je connaisse n’a pas lancé la serviette pour autant et il roule en ce moment dans une Smart électrique en attendant de prendre livraison de sa VW Golf 100% électrique.
BON HOMME, MAUVAIS RÔLE
Je termine ce billet en manifestant ma grogne sur le choix du porte-parole de la course de voitures électriques qui se tiendra l’été prochain dans les rues de Montréal. L’élu à ce poste, Patrick Carpentier, est un très chic type qui jouit d’une réputation enviable, mais quelle est son affiliation à la voiture électrique ? Aucun, vous dirais-je….Il me semble qu’entre Daniel, Sylvain et moi, il y aurait eu une plus grande connaissance du sujet et un ton plus sérieux pour renseigner l’ensemble de la population de même que la presse écrite ou parlée sur un tel évènement.
Hélas, on se heurte encore à une incompréhension de tout ce qui touche à l’électrification des transports et à tous les sujets connexes.