L’automobile en péril

La jeune génération réserve semble-t-il de mauvaises nouvelles aux constructeurs automobile.  Si l’on en croit les derniers sondages ainsi que les chiffres glanés ici et là, les jeunes tournent le dos à l’automobile et voient leur avenir avec de moins en moins de véhicules particuliers sur les routes.

Les raisons de leur détachement sont nombreuses ; en voici quelques-unes : fluctuations du prix du carburant, assurances en fonction de l’âge, immatriculations, coût et rareté du stationnement,mauvaises conditions des routes, investissement substantiel, plaisir de conduire en forte baisse, bref cette liste n’est même pas exhaustive tellement l’automobile est devenue un cauchemar dont les jeunes ne veulent pas s’embarrasser.

En viendrons- nous à l’auto de service, celle qui sera utilisée à des fins utilitaires comme le transport et les déplacements de masse ? Excusez mon emprunt à notre seconde langue officielle pour vous dire que l’auto est devenue” a pain in the ass”. Et ce n’est pas la sapristi de voiture autonome qui va améliorer les choses.

J’ai la ferme conviction que manufacturiers sont en train de virer fou avec ce dont personne ne veut. Tous les sondages sans exception  démontrent que le public ne veut rien savoir de la voiture autonome. Et vous, ne seriez vous pas inquiet et mort de peur de rouler dans une auto sans conducteur sur l’autoroute à 100 km/ au milieu de milliers d’autres modèles ne possédant pas la supposée technologie.

Incidemment, j’ai 2 voitures à vendre, deux bijoux que je dois céder par manque d’espace. L’une a besoin de pétrole, mais nous reporte aux belles années de Mercedes-Benz, soit des autos d’une solidité incomparable ou, si vous aimez mieux du temps où la firme allemande construisait des autos increvables ne requérant aucune intervention comme l’indique les 155 000 km de la bagnole dont je vous parle, soit une E320 95 cabriolet bleue avec toit bleu aussi. Bref elle est neuve ou presque et elle deviendra sous peu une voiture de collection d’une valeur largement supérieure à celle du marché actuel.

Je me souviens d’avoir payé 85 000$ pour cette bagnole neuve et je la céderais pour 35 000$, une aubaine. Vous pourriez en acheter une à moins cher mais je vous mets au défi d’en trouver une en meilleur état.

Mon second bijou est ma Tesla Model S , une P85D 2015 rouge avec 40 000 km au compteur qui m’a coûté 132 000$ après le rabais gouvernemental. Je suis ouvert aux offres autour de 110,000$. C’est la plus belle de toute en rouge.

Je m’amuse à un petit jeu depuis un mois ou deux, soit celui de compter le nombre de Tesla que je croise dans une journée. Ma moyenne me surprend en vue du fait que la Tesla est très chère  et du coup peu répandue. Ma moyenne est de 3 par jour, presque l’équivalent de  la Porsche 911 et bien devant la Panamera du même constructeur. À suivre.

Commanditaire qui a rendu cette chronique possible :

OCCASION UNIQUE DE FAIRE L’ESSAI D’UNE BOLT EV!