Photo de Jacques Duval: Mes bons amis Steve Duchesne et Luciano Testani à l’œuvre dans le cadre du Carrefour Mondial de l’accordéon à Montmagny.
Cher lecteur, je considère Jacques Duval comme mon ami et je suis TRÈS FIER de pouvoir compter sur lui en tant que chroniqueur régulier sur roulezelectrique.com. Je remercie des commanditaires tels que Autoblog-Québec et Bourgeois Chevrolet qui rendent cela possible. Il nous partagera sa propre expérience, bien sûr, mais aussi émettra son opinion sur l’évolution de tout «l’écosystème» qui a trait à l’électrification des transports. Sylvain Juteau ——————————————————————————————————————————————————————————
N’ayez crainte, je ne vous parlerai pas seulement de musique dans ce billet. Mais je prendrai quelques lignes pour vous dire que depuis mon tout jeune âge, j’ai un faible pour l’accordéon et j’ajouterais peut-être que c’est là ma deuxième passion. J’irai plus loin en vous confiant que c’est probablement ma deuxième passion après l’automobile. Ne le répétez pas trop, mais dès mon dernier anniversaire, j’ai décidé de m’inscrire à des cours d’accordéon où j’ai fait la connaissance d’un groupe d’amis aussi attachants que la musique qu’ils extraient de leurs instruments. Ils m’ont même entraîné jusqu’à Montmagny pour assister en fin de semaine au Carrefour mondial de l’accordéon, un festival regroupant quelques-uns des plus grands virtuoses de cet instrument trop souvent dévalorisé par une certaine élite musicale.
Je m’y suis évidemment rendu en Tesla avec un arrêt à l’hôtel Sépia de Québec où l’on trouve une borne d’Éco Route d’une puissance telle que l’on y récolte au moins 80 km d’autonomie en une heure et demie environ. Et rien de mieux pour laisser filer le temps que de prendre une bouchée au restaurant le Galopin, jouxté à l’hôtel. On y découvre l’une des bonnes adresses de Québec.
À Montmagny, par contre, point de bornes de recharge, ce qui fait que je me suis contenté des 5 km à l’heure d’une prise de courant 110 volts. La semaine précédente, je me suis rendu au tournoi de tennis du US Open et malgré les conseils de Sylvain je n’ai pas osé m’y rendre en Tesla Model S….et j’ai eu raison. En effet, mon horaire ne me permettait pas de subir la moindre perte de temps et nous nous sommes retrouvés en rentrant à Queens à un embouteillage de 90 minutes précédé d’une erreur de parcours après une visite dans un village de « factory outlets ». Je me suis donc contenté de ma vieille Mercedes 1995, une E320 cabriolet solide comme le roc malgré ses 160 000 km.
Pour revenir à Montmagny, j’ai pu y constater que dès que l’on sort de Montréal ou Québec sans doute, la notoriété de Tesla et des voitures électriques en général est quasiment non existante. Au moins 50 personnes m’ont demandé ce que je conduisais sans avoir la moindre idée de ce que Tesla était. Une seule personne en fait semblait familière avec la marque. Bref, l’accordéon y règne en maître, ce qui n’est pas le cas de la voiture électrique. Excusez mes digressions…
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Commanditaires qui ont rendu cette chronique possible:
Jacques Duval
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Jacques Duval (né le 21 juin 1934 à Lévis, Québec - ) est un journaliste, chroniqueur automobile et ancien pilote automobile québécois. En 1952 il faisait ses débuts, comme annonceur, à la station de radio CKCV de Québec, et par la suite a CKVL Verdun Au Québec, il est surtout connu comme étant le fondateur du livre Guide de l'auto, dont il a été rédacteur en chef de 1967 à 2003.
Aujourd'hui, Jacques Duval est doublement convaincu à la propulsion électrique: Il possède en effet une TESLA MODEL S P85 ainsi qu'une CHEVROLET VOLT!
M. Duval nous partage sur ce blogue, son expérience doublement électrique!