Photo: Jacque Duval et Daniel Breton près d’une Prius Prime.
Prière de lire le texte d’intro (Les fêtes en Prius Prime) avant de consulter celui-ci
Il eut été difficile de trouver des conditions routières et météorologiques plus exécrables pour la suite de mon essai de la Prius Prime : un vent suffisant pour exiger de constantes corrections de la trajectoire, une neige lourde et mouillante dont l’accumulation augmentait sensiblement la résistance de roulement, un trafic incessant obligeant à de constantes remises en accélération et j’en oublie.
Résultat : les 40 km d’autonomie du départ après une pleine charge se sont vus dilapidés en un rien de temps. Après 20 km, la Prime est passée de l’électricité à l’essence pour une consommation amputée de 50%. Mais, je vous l’avais dit, les conditions étaient exécrables. Précédemment, pour un trajet de 134 km (conduite semi-urbaine et autoroute) l’autonomie de 43 km au départ m’a accompagnée pendant 30 km résultant en une moyenne de 3,9 l/ 100 km, ce qui laisse entrevoir une consommation de 2,7 ou 2,8 par des temps plus cléments et sans pneus à neige. J’aurai d’autres déplacements et d’autres chiffres à vous donner dans une prochaine intervention.
En attendant, je me dois de souligner une expérience qui, de prime abord, m’a quelque peu inquiété. À un certain sur l’autoroute, j’ai noté une importante chute de puissance qui m’a obligé à appuyer à fond sur l’accélérateur pour grimper une pente douce. D’abord sans voix face à mes interrogations, les gens de Toyota me sont revenus pour m’expliquer qu’une telle situation était normale au moment où la voiture passe de l’alimentation électrique à l’alimentation à essence. L’accélérateur devient moins réactif et donne l’impression que le moteur est en train de rendre l’âme, ce qui est une occurrence normale.
Je vous en dirai plus long dans un prochain billet, mais je vous laisse sur un sujet qui fait beaucoup jaser à propos de a Toyota Prius Prime, soit son apparence. Défendez là ou défoulez-vous juste ici. À bientôt.