Chez les « électromobilistes », les journalistes automobiles ne sont pas très prisés par les temps qui courent. Et comme je suis pour ainsi dire entre l’enclume et le marteau dans le débat opposant les deux camps je pense avoir voix au chapitre.
D’abord, j’avoue ne pas comprendre l’opinion des gens de ma profession qui, comme moi, au tout début du phénomène électrique, semble obstinément désavouer cette technologie. Leurs remarques sont tellement ancrées profondément que l’on a l’impression qu’ils sont à la solde des constructeurs et qu’ils entretiennent la crainte de perdre tous les avantages que ceux-ci leur offrent pour avoir fait l’apologie de l’auto électrique.
Mais ce qui me jette par terre précisément, c’est l’ignorance crasse du phénomène qu’ils manifestent dans leurs écritures ou lors d’échanges à la radio ou à la télé. Et s’ils avaient au moins des arguments solides pour défendre leur position contre l’électricité, on pourrait toujours comprendre qu’ils soient aussi optus. Mais, non, ils épousent la même rengaine que le grand public, cette satanée crainte d’une autonomie moindre que la normale et la rareté des bornes de recharge qui, au moment où j’écris ces lignes, sont quasi assez nombreuses pour couvrir toutes les destinations à travers le Québec.
Même le fameux voyage en Floride est désormais possible au volant d’une Tesla.
D’accord, il est encore très prohibitif de rouler électrique, mais avec l’avancement de la technologie et des journalistes moins niaiseux dans leurs propos, la propagation pourrait aller très vite.
Photo : Leaf 2016 en charge rapide à la Station Roulez Électrique.
Tiens, je viens juste de rouler quelques jours avec la dernière Nissan Leaf qui ce matin avait un appréciable 204 km à m’offrir en quittant la maison. Et après une centaine de kilomètres dans des conditions loin d’idéales, j’avais encore 98 km à dépenser en énergie gratuite (presque).
Qu’avez-vous, chers collègues, à déchanter là-dessus?
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Chers lecteurs, je considère Jacques Duval comme mon ami et je suis TRÈS FIER de pouvoir compter sur lui en tant que chroniqueur régulier sur roulezelectrique.com. Je remercie le commanditaire Bourgeois Chevrolet qui rend cela possible. Il nous partagera sa propre expérience, bien sûr, mais aussi émettra son opinion sur l’évolution de tout «l’écosystème» qui a trait à l’électrification des transports.
Sylvain Juteau
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Commanditaire qui a rendu cette chronique possible :
155 Commentaires.
Tout à fait d’accord avec Monsieur Duval et je partage cette frustration. Eric Lefrançois de La Presse n’a jamais osé répliquer à mes courriels où je remettais en question l’intégrité de l’équipe auto de La Presse. Aucune mention de la sortie de l’auto-pilote Tesla, par contre on s’empresse de rapporter des problèmes de moteurs ou le rappel des ceintures. Je crois qu´il est temps d’un renouveau dans les équipes de presse
Merci de brasser la cage!
Bof… Malgré tout le respect que j’ai pour l’oeuvre de M. Duval, son propos tombe à l’eau. Il semble bien amer envers les autres chroniqueurs. Trop imbu de sa Tesla à $130000. peut-être ? Et on se souvient qu’il a déjà vendu son âme à Ford, alors mal placé pour critiquer cet aspect. Si les journalistes partagent les mêmes craintes que le public, c’est qu’ils reflètent bien la réalité. Dans l’état actuel de l’offre, me procurer une voiture électrique m’obligerait à conserver quand même une 2e voiture à essence, ce qui est un non-sens. Je n’aurais jamais cru que Jacques Duval succomberait un jour à la théorie du complot. Ça ne lui va pas bien…
La Chevrolet Volt est la voiture qu’il vous faut alors
On croirait lire une mémère vendue du J de M.
Un journaliste n’est pas là pour réfléter la crainte du publique, mais pour établir les faits, dire la vérité ! La crainte du public est-elle avérée ? À croire les journalistes, oui, mais ils ne font que répéter, sans valider ! On nous ressort que ça prend 16 heures charger une voiture sur le 120V, mais on oublie de mentionner que s’en prend seulement 4 heures sur le 240V, à la maison, pendant la nuit, lorsque vous n’avez pas besoin de votre voiture de toute façon! Ou seulement 30 minutes pour pouvoir recharger 80% de la batterie vide sur une des nombreuses BRCC qui sont déployées. Ils omettent de dire que l’autonomie est suffisante pour la majorité des gens qui font rarement plus de 50km pour aller travailler. Ils omettent de dire que Montréal-Québec se fait facilement maintenant avec les BRCC le long de l’autoroute ! Bref, ils répètent le même genre de discours qui avait lieu le siècle passé lorsque la voiture remplaçait les chevaux ! L’autonomie n’était pas mieux, les stations services quasi inexistantes, la voiture elle même n’était pas fiable ! Au moins, les voitures électriques le sont ! Et elles demandent pratiquement aucun entretien ! Il est probable qu’elles rouillent même moins rapidement, faute de fournir autant de chaleur pour activer les réactions chimiques, contrairement au moteur à essence et à sa ligne d’échappement ! Les journalistes entretiennent encore la crainte de la courte durée de vie de la batterie, et pourtant, la mienne, après 20 mois et 60 000km, n’a perdu qu’un maigre 1% de capacité actuellement ! Plusieurs voitures on d’ore et déjà franchi le cap des 160 000km, quelques-unes (modèles 2013 et plus récent) avec très peu de perte de capacité ! Car oui, les 2011 et 2012 avait une mauvaise durée de vie à la chaleur à cause de la chimie utilisée dans la batterie, mais ce n’est plus le cas !
Je suis d’accord avec M. Duval que nous devons envisager le passage au voiture électrique dans un avenir très proche. Dès 2017, l’offre sera certainement beaucoup plus intéressante pour la grande majorité des automobilistes. Par contre, le fait d’être en mesure de rouler entre le travail et la maison 100% électrique ne fait tout de même pas toujours l’affaire. Dans la mesure ou le nombre de borne sera faible et le temps de charge restera long, je ne pourrai pas me passer d’au moins une voiture conventionnel. Si dans un avenir proche, nous retrouverions 15% du parc automobile en mode électrique, il faudrait multiplier de façon très importante le nombre de point de recharge sur tout le territoire. Quand on regarde le temps que ça prends pour mettre de l’essence au Costco (une file de 7 ou 8 voitures par pompe), souvent, les gens décide de quitter et mettre de l’essence ailleur en 2 minutes. Je vois mal le moment ou je devrai faire la file pour me recharger 20 minutes x par le nombre de voiture devant moi.
La différence de taille avec l’essence, c’est que +9 recharge sur 10 se font à la maison, 10 secondes pour ploguer et 10 secondes pour débloquer. Une voiture pleine et chaude chaque matin.
De plus la technologie des batteries évolué vite, vitesse de recharge et capacité. À 500 km d’autonomie, attendre 1/2 heure lors des rares grands voyages ne pèsera pas lord dans la balance, comparé aux nombreux avantages et économies des électromobiles.
M Richard, oui mais, il ne faut pas oublier que les électromobilistes ont une station service à la maison et que l’auto repart toujours le matin avec le “réservoir” plein. Les bornes publiques ne comptent que pour 5% à 10% des recharges. Vous allez me dire qu’en ville, on stationne sur rue et qu’il n’y a pas moyen d’y recharger. C’est un défi en effet, mais si on se limite à ceux qui peuvent recharger à la maison, incluant toute nouvelle construction qui *devrait* fournir des bornes, il pourrait y avoir des millions d’autos électriques sur nos routes.
“Le Plan d’action en électrification des transports 2015-2020 est doté d’un budget de plus de 420 millions de dollars.”
De quoi construire plus de 2100 stations de 8 Superchargeurs (200,000$ par station), soit une station à chaque 88km d’autoroutes, de routes nationales, de routes régionales, de rues, et de chemins locaux, et cela à la grandeur de la province du Québec.
L’électrification des transports au Québec ne doit pas se limiter à investir pour assurer le déploiement de bornes de recharge, on doit faire plus que ça, entre autre profiter de l’opportunité pour assurer le développement d’une véritable industrie qui gravitera autour du transport électrique au Québec.
Et bien justement, avec une voiture électrique, on a notre propre station, à la maison. Plus besoin de s’arrêter à une station publique. Ma Nissan Leaf est mon unique véhicule. Je suis rendu à plus de 66 000 km après deux ans et quatre mois d’utilisation, je vais en Gaspésie à chaque été, ce qui représente 1600 km pour un aller-retour. Pour l’attente aux bornes, en plus de deux ans, il m’est arrivé d’attendre 10 minutes une seule fois, j’en ai profité pour jaser avec la propriétaire de l’autre voiture électrique. Pour ce qui est des supposés journalistes automobiles, ils trouvent plus facile de raconter des faussetées sur les voitures électriques que de prendre le temps d’apprendre cette nouvelle technologie. Malheureusement, ils réussissent à convaincre ceux qui ne connaissent pas les VÉ, quand on voit des gens qui n’ont visiblement jamais toucher à ce genre de voiture, venir nous obstiner sur ce sujet, alors que nous, on connait les deux technologies, je trouve ça assez pathétique.
Quelle amertume et quelle tristesse. Je ne me suis jamais senti au-dessus des autres parce que j’avais touché au deux (et même trois en incluant l’hydrogène) technologies. Je n’ai jamais cru que j’avais la science infuse parce que je testais des voitures.
Mon rôle, comme chroniqueur automobile, est d’essayer la voiture comme la moyenne des consommateurs le ferait. De transmettre les bons, et les moins bons, côtés des véhicules, et d’être le reflet des préoccupations des conducteurs. Pas d’être l’apôtre de l’une ou l’autre des technologies.
Les inquiétudes vers l’électricité (et vers les autres modes d’alimentation, faut-il le préciser) sont nombreuses: il est question d’autonomie, de délai de recharge, de coûts supplémentaires à l’achat, etc…
Nier que ces problèmes existent revient à croire encore que la terre est plate. Hurler haut et fort que la voiture électrique est la seule solution n’est guère plus brillant.
Les voitures électriques sont importantes, et font partie du développement d’une solution durable et performante. Mais dans leur forme actuelle, elles ne sont qu’un seul des maillons. La diminution de consommation des moteurs à essence, et toute autre tentative de réduire les émissions polluantes, font aussi partie de la solution à court et long terme.
Dénigrer les journalistes automobiles, mon cher monsieur Duval, c’est de taper sur le messager en ne voulant pas s’avouer que c’est le message lui-même qui inquiète. Je l’ai dit, écrit et répété, ce n’est pas en martelant avec une masse le message auprès de la population qu’il passera. Au contraire.
Alors dire que les journalistes automobiles ont des propos niaiseux, soit! Vous faites alors la preuve que vous étiez bien le premier d’entre nous….
Donnez moi un exemple de diminution substantiel de consommation de carburant d’un modèle populaire en conduite normale M. Bouchard? Pour répondre au défi de limiter à 2 degrés celsius l’augmentation du réchauffement planétaire, il faudrait plus que 10 à 30 % de réduction de consommation par modèle mais bien 70 à 90%. Surtout le marché chinois qui est maintenant plus gros que celui américain. Et je crois qu’avec ce qu’affirme certains constructeurs envers la norme CAFE supposé entrer en vigueur en 2025, ça ne sera pas possible sans l’électrification du transport.
Pourquoi avoir dit à la télévision cette année que ça prenait trois jours pour faire Montréal-Québec en voiture électrique? Il y a des chargeurs rapides sur le bord de la 20 et de la 40 à Drummondville et Trois-Rivières.
Et parlant du consommateur moyen dont vous parlez qui vous sert de point de repère, vous êtes allé essayer un VUS grand format, le Mercedes GLS 350D en Autriche et vous parlez de ses vertues de “petite consommation” sur un site qui s’appelle ÉcoloAuto. Combien coûte ce VUS? Entre 80 000 et 130 000$. Nous ne faisons pas partie de la même classe moyenne.
Côté consommation voici ce que vous écrivez:
“Est-ce qu’il est économique?
On le pense, la version GLS 350 diesel qui sera la première offerte au Canada en mars prochain, sera économique. Son moteur V6 de 249 chevaux, nerveux malgré tout, est capable d’une bonne économie, mais les conditions de notre essai n’ont pas permis de s’en rendre compte avec sérieux.”
Alors quelle est sa consommation? Votre titre dit bien :
Mercedes-Benz GLS 350d, essai routier : grand format, petite consommation
C’est qui “on” dans la phrase “On le pense” …qui sera économique?
Déjà d’avoir les chiffres du constructeur nous aurait donné une idée.
SVP, aidez-moi à comprendre monsieur Bouchard.
Mr Bouchard, Je ne dirais pas que les propos des journalistes sur les VE étaient ”niaiseux” Je dirais plutôt qu’ils étaient inexactes à l’occasion. Je dirais même, et prenez-le constructivement, que l’on donnait souvent l’image du verre à moitié vide au lieu de miser sur celui moitié plein. Ceux qui conduisent autre chose qu’une Tesla ici savent que les VE ne sont pas ”parfaites” et qu’elles n’ont surtout pas l’autonomie à l’heure actuelle des thermiques, ça on s’entend là-dessus. Cependant c’est votre rôle de dire à qui peut s’adresser ce genre de produit et là encore (de moins en moins aujourd’hui heureusement) il y a eu de sérieuses lacunes. J’en ai conduites quelques une dans ma vie des voitures et je peux dire après 3 ans avec une VE, l’autre qui est une thermique dans notre entrée va être remplacée par une autre VE même si elle ne fait pas plus 200km d’autonomie. Partir au petit matin avec une voiture programmable chaude (volant inclus) en hiver branchée sur le 220v. On n’a même pas ça (2012) dans des voitures essence. Après 3ans je suis déjà ”break-even” versus une thermique de même qualité perçue et caractéristiques avec la distance que je fais en une semaine et tous les ”non-entretiens”. Vous savez quand il y a 2 thermiques dans une entrée, aujourd’hui il y a de la place pour en remplacée une par une électrique. C’est très probable.
Je viens d’aller faire un tour dans vos articles de cette année.
Quel message voulez-vous passer en parlant sur le site au nom très clair ÉcoloAuto de :
le VUS Mercedes-Benz GLS 350d;
la Mercedes-Benz Classe C coupé 2017;
la VW Golf R 2016;
l’Infiniti Q30;
l’Alfa-Romeo Giulia;
la Honda Civic Type-R;
les voitures rétro pour bal de finissants.
Aucun de ces articles ne parlent des avantages écologiques d’acheter ces véhicules sauf pour le GLS mais vous n’en donnez pas la consommation.
Je constate que vous avez laissé de côté le Rav4 hybride, mon texte sur les investissements de Ford en matière d’électrification, la venue de la Hyundai Ioniq. Comme d’habitude alors, vous ne lisez que ce qui vous convient. C’est exactement ce genre d’attitude que je dénonce dans le dossier des VE: sus à celui qui ose dire quelque chose..
Quant au GLS, si vous aviez bien lu, vous auriez su que les cotes de consommation et la puissance nord américaine officielles ne sont pas encore disponibles. En revanche, le diesel a fait très bonne figure lors de notre essai.
Bonjour M. Bouchard.
Je suis heureux que vous ayez pris le temps de répondre sur ce site parce que cela démontre votre intérêt pour cette technologie et votre disposition à être mieux renseigné.
Je pense que vous avez comparé les passionnés que nous sommes avec des intégristes ou Ahyatola dans un de vos articles.
Personnellement, cela m’indiffère complètement d’être comparé à quelque chose que personne ne comprend très bien dans le monde occidental, c’est-à-dire que je ne sais même pas si c’est un compliment ou une insulte bien que c’était l’intention du propos.
Peu importe, pour moi ce qui compte ce sont les faits, et c’est justement parce que la majorité des chroniqueurs ne s’attarde pas aux faits, ou aux expériences réelles des propriétaires de véhicule électrique et rédige leur article sans avoir fait le tour de la question que c’est assez commun de noter des écarts risibles entre ce que décrivent certain chroniqueur plutôt nombreux.
Était-ce vous, M. Bouchard, qui lors du dévoilement du plan d’électrification présenté tour à tour par M. Couillard et Poëti étiez le spécialiste invité pour le commenter?
Si ce n’est vous, c’est un drôle de zigoto qui s’est permis de prétendre être expert, tout en coupant en quatre le nombre de bornes publiques installé au Québec, alors que M.Couillard et M. Poëti venaient précisément d’en préciser le nombre avant l’intervention.
Ce genre de chose ne passe pas inaperçu et démontre simplement un grand laxisme dans le travail de cet expert.
Il ajoutait en plus que le Québec comptait bien moins de bornes de recharge que les États-Unis, ce qui rendait l’utilisation du véhicule électrique encore plus précaire.
Il avait évidemment raison sur ce point, mais oubliait de faire l’effort de calcul simple de compter le nombre de bornes disponibles par habitant qui aurait en démontrer une image tout à fait différente.
En effet, il y a ici au Québec, deux fois plus de bornes disponibles par habitant qu’aux États-Unis.
Enfin un autre moment un autre expert, il y a moins de quatre mois prétendait avec grand sérieux que la voiture électrique prenait 3 jours pour faire le trajet de Québec à Montréal.
Dans n’importe quel domaine d’expertise de tel pseudo spécialiste ne dureraient pas une semaine.
Quoiqu’il y a aussi la géopolitique qui a eu son François Bougingo.
S.V.P., continuez de nous lire et sachez qu’il y a ici une source d’information foisonnante et aucun ayatollah.
Monsieur Santerre,
petite précision pour vous: selon Wikipédia,dans la langue française courante, le terme ayatollah est également employé pour désigner une personne particulièrement intransigeante sur un sujet précis.Je pense que bon nombre de commentaires mentionnés ici, incluant ceux traitant les journalistes de vendus, correspondent à cette définition.
Pour les 3 jours, c’est exact, et je l’ai expliqué à maintes reprises: c’était une exagération volontaire faite dans un contexte spécifique. devant ce tollé, j’aurais dû choisir la phrase “ça prendra une éternité”, mais j’aurais peur de me faire dire que l’éternité n’existe pas.
Ramenez vous aussi dans le contexte de cette entrevue. À ce moment, aucune borne n’existe le long de la 20 outre St-Hyacinthe et Levis, une distance de 188 kilomètres impossible à réaliser avec une seule charge. Il fallait donc faire un détour par Victoriaville pour se recharger efficacement (Drummondville n’est pas encore ouverte). Faites donc le calcul, et vous verrez qu’au moment de l’entrevue, passer par l’autoroute 20 (une obligation dans mon cas à défaut de faire un détour de 100 km) exigeait de nombreux tours de passe passe et beaucoup, beaucoup de patience. Il est exact qu’aujourd’hui, ces données ont changé.
Quant à l’entrevue au moment du dévoilement du plan Poeti, je ne me souviens pas d’avoir traité de ce dossier. Peut-être l’ai-je fait, mais honnêtement, j’ignore dans quel contexte.
Oui, l’éternité existe! Mais, c’est toujours plus long vers la fin… Surtout quand la batterie est à terre et qu’il reste 20km à faire…
Merci M. Bouchard de répondre à la plupart des commentaires.
C’est toujours mieux de discuté que de s’eng…..
J’ai aussi consulté votre article du 25 septembre sur la Leaf et il m’apparait, outre vos appréhensions légitimes et partagées par plusieurs, qu’il y a lieu de mieux définir certains aspects de la voiture qui laisse place à des interprétations négatives qui ne devraient pas exister.
Si vous voulez, je peux en faire la liste et vous la soumettre?
Par ailleurs, lorsque vous dites le 3 mars 2015 qu’un voyage entre Québec et Montréal prendrait 3 jours parce qu’il n’y avait qu’une borne BRCC à Victoriaville c’est inexact, puisqu’avant celle de Victoriaville inauguré le 16 décembre 2014, il y a eu 7 autres bornes rapides mises en fonction justement pour le corridor Montréal-Québec sur la 40.
Borne de Maskinongé inauguré le 26 septembre 2014
Borne de Yamachiche inauguré le 24 octobre 2014
Borne de Trois-Rivière inauguré le 29 octobre 2014
Puis deux autre le 6 novembre 2014 au Village-relais Deschambault-Grondines et l’aire de service du Point-du-Jour à Lavaltrie.
Bref, il était déjà possible de faire ce trajet en quelques heures seulement.
On exclut les Tesla qui comme chacun sait, peuvent le faire sans recharger.
Si nous sommes des Ayattolah, c’est surtout pour la précision et l’exactitude, le restant suivant tout naturellement.
Monsieur Santerre
je consulterai votre liste avec plaisir. Vous pouvez même me l’envoyer par courriel à autos@cgocable.ca.
Je me dois aussi de vous préciser quelque chose: vous me parlez de toutes les bornes rapides sur la 40. J’ai bien expliqué dans mon commentaire que je devais passer par la 20, étant un résidant de la région montérégienne, et devoir passer par la 40 m’exigerait une rallonge de plus de 100 km de mon parcours. Or, au moment de l’entrevue, outre Victoriaville, aucune borne rapide n’était en fonction le long de l’autoroute 20.
M. Duval dit que certains hounalistes sont obtus, parce qu’il ne peut pas dire carrément qu’ils sont vendus… nous on peut 🙂
Ayant été pétromobiliste et maintenant Véiste depuis 2012. Comme plusieurs le mentionnent ici, le constat est juste choquant quand on écoute et lis certains de vos collègues journalistes automobile. Moi si je vous dis que les transports de demain seront probablement collectifs au détriment du transport individuel qu’est la voiture électrique dans un contexte économique et de vie qui sera de plus en plus vert. Comment allez-vous réagir? Bien certaines personnes ont le même problème entre la thermique et l’électrique présentement.
Je suis d’accord avec vous. Les voitures électriques, tout comme les voitures à essence sont imparfaites. Certaines technologies permettent de réduire les émissions et la consommation (ecoboost, Skyactiv, désactivation de cylindres, motorisation hybride non branchable) mais ne sont pas efficaces en tout temps. Pas plus que ne le sont les VE. On revient donc au point de départ: il faudra un mixte de technologies pour atteindre tous les objectifs ET répondre à tous les besoins. L’électrification des transports collectifs devrait aussi être à l’ordre du jour. Mais rejeter systématiquement les questions et les préoccupations des consommateurs, et traiter d’obtus et de propos niaiseux ceux qui les rapportent ne contribue en rien à l’avancement de la chose! Et oui, dans mon esprit, la Volt est celle qui répond le mieux aux besoins de la majorité, ce que je ne me suis jamais privé de dire. Rappelez-vous cependant qu’elle consomme aussi du carburant!
M Bouchard.
Le problème que vous projetez est que vous essayer toujours de prendre un VÉ pour remplacer tous les véhicule à essence.
Si au moins vous osiez dire que si un ménage a deux véhicule à la maison, un Véhicule électrique serait de mise pour faire économiser au couple.
Vous parlez toujours qu’un VÉ ne peut pas faire Montréal Québec sans se recharger quand 90% des déplacements d’un couple se situe en deça de 90 km ce que tout VÉ fait présentement.
Seulement de mentionner ce fait dans vos commentaires vous ferait gagner en estime dans toute la communauté de Véiste.
Non le VÉ ne peut pas aujourd’hui remplacer tout le voitures à essence, mais de grace ouvrez votre esprit et amener les gens à considérer l’achat d’un VÉ comme second véhicule.
Alors comme à peu près tout ceux qui ont pris cette décision, les gens verront que le véhicule à essence deviendra le second véhicule.
Au plaisir de vous relire vos chroniques avec des termes plus respectueux pour les Véhicle électrique.
Tout à fait d’accord avec Monsieur Duval et je partage cette frustration. Eric Lefrançois de La Presse n’a jamais osé répliquer à mes courriels où je remettais en question l’intégrité de l’équipe auto de La Presse. Aucune mention de la sortie de l’auto-pilote Tesla, par contre on s’empresse de rapporter des problèmes de moteurs ou le rappel des ceintures. Je crois qu´il est temps d’un renouveau dans les équipes de presse
Merci de brasser la cage!
Le diesel peut réduire légèrement l’émission des GES, mais en augmentant les émissions des NOx. Si je ne me trompe pas, cela ne fait pas longtemps que vos collègues parlaient de la TDI comme partie de la solution. Par exemple, l’amateur #1 des diesels au Canada est Jim Kenzie, un chroniqueur qui ne rate jamais une occasion pour denigrer les VE.
Je n’ai rien laissé de côté. Vous répondez à côté. La majorité de vos articles parlent de sujets reliés au thème du site. Ce que je veux savoir c’est: Qu’est-ce que fait une Mercedes-Benz Classe C coupé 2017 sur un site écologique ou une voiture rétro à un bal de finissants?
Bof… Malgré tout le respect que j’ai pour l’oeuvre de M. Duval, son propos tombe à l’eau. Il semble bien amer envers les autres chroniqueurs. Trop imbu de sa Tesla à $130000. peut-être ? Et on se souvient qu’il a déjà vendu son âme à Ford, alors mal placé pour critiquer cet aspect. Si les journalistes partagent les mêmes craintes que le public, c’est qu’ils reflètent bien la réalité. Dans l’état actuel de l’offre, me procurer une voiture électrique m’obligerait à conserver quand même une 2e voiture à essence, ce qui est un non-sens. Je n’aurais jamais cru que Jacques Duval succomberait un jour à la théorie du complot. Ça ne lui va pas bien…
La Chevrolet Volt est la voiture qu’il vous faut alors
On croirait lire une mémère vendue du J de M.
Un journaliste n’est pas là pour réfléter la crainte du publique, mais pour établir les faits, dire la vérité ! La crainte du public est-elle avérée ? À croire les journalistes, oui, mais ils ne font que répéter, sans valider ! On nous ressort que ça prend 16 heures charger une voiture sur le 120V, mais on oublie de mentionner que s’en prend seulement 4 heures sur le 240V, à la maison, pendant la nuit, lorsque vous n’avez pas besoin de votre voiture de toute façon! Ou seulement 30 minutes pour pouvoir recharger 80% de la batterie vide sur une des nombreuses BRCC qui sont déployées. Ils omettent de dire que l’autonomie est suffisante pour la majorité des gens qui font rarement plus de 50km pour aller travailler. Ils omettent de dire que Montréal-Québec se fait facilement maintenant avec les BRCC le long de l’autoroute ! Bref, ils répètent le même genre de discours qui avait lieu le siècle passé lorsque la voiture remplaçait les chevaux ! L’autonomie n’était pas mieux, les stations services quasi inexistantes, la voiture elle même n’était pas fiable ! Au moins, les voitures électriques le sont ! Et elles demandent pratiquement aucun entretien ! Il est probable qu’elles rouillent même moins rapidement, faute de fournir autant de chaleur pour activer les réactions chimiques, contrairement au moteur à essence et à sa ligne d’échappement ! Les journalistes entretiennent encore la crainte de la courte durée de vie de la batterie, et pourtant, la mienne, après 20 mois et 60 000km, n’a perdu qu’un maigre 1% de capacité actuellement ! Plusieurs voitures on d’ore et déjà franchi le cap des 160 000km, quelques-unes (modèles 2013 et plus récent) avec très peu de perte de capacité ! Car oui, les 2011 et 2012 avait une mauvaise durée de vie à la chaleur à cause de la chimie utilisée dans la batterie, mais ce n’est plus le cas !
Je suis d’accord avec M. Duval que nous devons envisager le passage au voiture électrique dans un avenir très proche. Dès 2017, l’offre sera certainement beaucoup plus intéressante pour la grande majorité des automobilistes. Par contre, le fait d’être en mesure de rouler entre le travail et la maison 100% électrique ne fait tout de même pas toujours l’affaire. Dans la mesure ou le nombre de borne sera faible et le temps de charge restera long, je ne pourrai pas me passer d’au moins une voiture conventionnel. Si dans un avenir proche, nous retrouverions 15% du parc automobile en mode électrique, il faudrait multiplier de façon très importante le nombre de point de recharge sur tout le territoire. Quand on regarde le temps que ça prends pour mettre de l’essence au Costco (une file de 7 ou 8 voitures par pompe), souvent, les gens décide de quitter et mettre de l’essence ailleur en 2 minutes. Je vois mal le moment ou je devrai faire la file pour me recharger 20 minutes x par le nombre de voiture devant moi.
La différence de taille avec l’essence, c’est que +9 recharge sur 10 se font à la maison, 10 secondes pour ploguer et 10 secondes pour débloquer. Une voiture pleine et chaude chaque matin.
De plus la technologie des batteries évolué vite, vitesse de recharge et capacité. À 500 km d’autonomie, attendre 1/2 heure lors des rares grands voyages ne pèsera pas lord dans la balance, comparé aux nombreux avantages et économies des électromobiles.
M Richard, oui mais, il ne faut pas oublier que les électromobilistes ont une station service à la maison et que l’auto repart toujours le matin avec le “réservoir” plein. Les bornes publiques ne comptent que pour 5% à 10% des recharges. Vous allez me dire qu’en ville, on stationne sur rue et qu’il n’y a pas moyen d’y recharger. C’est un défi en effet, mais si on se limite à ceux qui peuvent recharger à la maison, incluant toute nouvelle construction qui *devrait* fournir des bornes, il pourrait y avoir des millions d’autos électriques sur nos routes.
Voici un bel exemple de journalistes qui disent avec assurance un baquet de niaiseries et de faussetés sur les VÉ, Éric Duhaime et Nathalie Normandeau sur fm93 à Québec:
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Titre : Québec imposera la norme ”zéro émission” pour les véhicules vendus dans la province! Est-ce faisable??
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http://www.fm93.com/lecteur/audio/quebec-imposera-la-norme-zero-emission-pour-le-298714.mp3
Ouf! Il y a de l’éducation à faire au Québec.
Benoit Charette a poursuivi son bon travail de présentation des VÉ, mais le temps alloué ne lui permet pas de faire une démonstration détaillée des avantages et des inconvénients.
Monsieur Duhaime est un provocateur hors-pair. Il aurait besoin d’une journée avec les électromobilistes de l’AVEQ pour s’informer un peu de leur réalité quotidienne. Je suis certain qu’il temporiserait ses propos. Et qu’il s’achèterait peut-être une Tesla pour faire si souvent Montréal-Québec à moindre frais 🙂 .
Madame Normandin est décevante pour une ex-ministre des Ressources naturelles et de la Faune de 2009 à 2011 qui dit avoir initié le programme de subvention pour l’achat de véhicules électriques mais qui n’est pas capable de défendre ce programme aujourd’hui. Et qui ne comprend pas ce qu’est une loi Zéro émission. Je lui suggère de consulter le site de la coalition http://www.czeq.org .
“Le Plan d’action en électrification des transports 2015-2020 est doté d’un budget de plus de 420 millions de dollars.”
De quoi construire plus de 2100 stations de 8 Superchargeurs (200,000$ par station), soit une station à chaque 88km d’autoroutes, de routes nationales, de routes régionales, de rues, et de chemins locaux, et cela à la grandeur de la province du Québec.
L’électrification des transports au Québec ne doit pas se limiter à investir pour assurer le déploiement de bornes de recharge, on doit faire plus que ça, entre autre profiter de l’opportunité pour assurer le développement d’une véritable industrie qui gravitera autour du transport électrique au Québec.
Et bien justement, avec une voiture électrique, on a notre propre station, à la maison. Plus besoin de s’arrêter à une station publique. Ma Nissan Leaf est mon unique véhicule. Je suis rendu à plus de 66 000 km après deux ans et quatre mois d’utilisation, je vais en Gaspésie à chaque été, ce qui représente 1600 km pour un aller-retour. Pour l’attente aux bornes, en plus de deux ans, il m’est arrivé d’attendre 10 minutes une seule fois, j’en ai profité pour jaser avec la propriétaire de l’autre voiture électrique. Pour ce qui est des supposés journalistes automobiles, ils trouvent plus facile de raconter des faussetées sur les voitures électriques que de prendre le temps d’apprendre cette nouvelle technologie. Malheureusement, ils réussissent à convaincre ceux qui ne connaissent pas les VÉ, quand on voit des gens qui n’ont visiblement jamais toucher à ce genre de voiture, venir nous obstiner sur ce sujet, alors que nous, on connait les deux technologies, je trouve ça assez pathétique.
Quelle amertume et quelle tristesse. Je ne me suis jamais senti au-dessus des autres parce que j’avais touché au deux (et même trois en incluant l’hydrogène) technologies. Je n’ai jamais cru que j’avais la science infuse parce que je testais des voitures.
Mon rôle, comme chroniqueur automobile, est d’essayer la voiture comme la moyenne des consommateurs le ferait. De transmettre les bons, et les moins bons, côtés des véhicules, et d’être le reflet des préoccupations des conducteurs. Pas d’être l’apôtre de l’une ou l’autre des technologies.
Les inquiétudes vers l’électricité (et vers les autres modes d’alimentation, faut-il le préciser) sont nombreuses: il est question d’autonomie, de délai de recharge, de coûts supplémentaires à l’achat, etc…
Nier que ces problèmes existent revient à croire encore que la terre est plate. Hurler haut et fort que la voiture électrique est la seule solution n’est guère plus brillant.
Les voitures électriques sont importantes, et font partie du développement d’une solution durable et performante. Mais dans leur forme actuelle, elles ne sont qu’un seul des maillons. La diminution de consommation des moteurs à essence, et toute autre tentative de réduire les émissions polluantes, font aussi partie de la solution à court et long terme.
Dénigrer les journalistes automobiles, mon cher monsieur Duval, c’est de taper sur le messager en ne voulant pas s’avouer que c’est le message lui-même qui inquiète. Je l’ai dit, écrit et répété, ce n’est pas en martelant avec une masse le message auprès de la population qu’il passera. Au contraire.
Alors dire que les journalistes automobiles ont des propos niaiseux, soit! Vous faites alors la preuve que vous étiez bien le premier d’entre nous….
Donnez moi un exemple de diminution substantiel de consommation de carburant d’un modèle populaire en conduite normale M. Bouchard? Pour répondre au défi de limiter à 2 degrés celsius l’augmentation du réchauffement planétaire, il faudrait plus que 10 à 30 % de réduction de consommation par modèle mais bien 70 à 90%. Surtout le marché chinois qui est maintenant plus gros que celui américain. Et je crois qu’avec ce qu’affirme certains constructeurs envers la norme CAFE supposé entrer en vigueur en 2025, ça ne sera pas possible sans l’électrification du transport.
Pourquoi avoir dit à la télévision cette année que ça prenait trois jours pour faire Montréal-Québec en voiture électrique? Il y a des chargeurs rapides sur le bord de la 20 et de la 40 à Drummondville et Trois-Rivières.
Et parlant du consommateur moyen dont vous parlez qui vous sert de point de repère, vous êtes allé essayer un VUS grand format, le Mercedes GLS 350D en Autriche et vous parlez de ses vertues de “petite consommation” sur un site qui s’appelle ÉcoloAuto. Combien coûte ce VUS? Entre 80 000 et 130 000$. Nous ne faisons pas partie de la même classe moyenne.
Côté consommation voici ce que vous écrivez:
“Est-ce qu’il est économique?
On le pense, la version GLS 350 diesel qui sera la première offerte au Canada en mars prochain, sera économique. Son moteur V6 de 249 chevaux, nerveux malgré tout, est capable d’une bonne économie, mais les conditions de notre essai n’ont pas permis de s’en rendre compte avec sérieux.”
Alors quelle est sa consommation? Votre titre dit bien :
Mercedes-Benz GLS 350d, essai routier : grand format, petite consommation
C’est qui “on” dans la phrase “On le pense” …qui sera économique?
Déjà d’avoir les chiffres du constructeur nous aurait donné une idée.
SVP, aidez-moi à comprendre monsieur Bouchard.
Mr Bouchard, Je ne dirais pas que les propos des journalistes sur les VE étaient ”niaiseux” Je dirais plutôt qu’ils étaient inexactes à l’occasion. Je dirais même, et prenez-le constructivement, que l’on donnait souvent l’image du verre à moitié vide au lieu de miser sur celui moitié plein. Ceux qui conduisent autre chose qu’une Tesla ici savent que les VE ne sont pas ‘’parfaites’’ et qu’elles n’ont surtout pas l’autonomie à l’heure actuelle des thermiques, ça on s’entend là-dessus. Cependant c’est votre rôle de dire à qui peut s’adresser ce genre de produit et là encore (de moins en moins aujourd’hui heureusement) il y a eu de sérieuses lacunes. J’en ai conduites quelques une dans ma vie des voitures et je peux dire après 3 ans avec une VE, l’autre qui est une thermique dans notre entrée va être remplacée par une autre VE même si elle ne fait pas plus 200km d’autonomie. Partir au petit matin avec une voiture programmable chaude (volant inclus) en hiver branchée sur le 220v. On n’a même pas ça (2012) dans des voitures essence. Après 3ans je suis déjà ‘’break-even’’ versus une thermique de même qualité perçue et caractéristiques avec la distance que je fais en une semaine et tous les ‘’non-entretiens’’. Vous savez quand il y a 2 thermiques dans une entrée, aujourd’hui il y a de la place pour en remplacée une par une électrique. C’est très probable.
Je suis d’accord avec vous. Les voitures électriques, tout comme les voitures à essence sont imparfaites. Certaines technologies permettent de réduire les émissions et la consommation (ecoboost, Skyactiv, désactivation de cylindres, motorisation hybride non branchable) mais ne sont pas efficaces en tout temps. Pas plus que ne le sont les VE. On revient donc au point de départ: il faudra un mixte de technologies pour atteindre tous les objectifs ET répondre à tous les besoins. L’électrification des transports collectifs devrait aussi être à l’ordre du jour. Mais rejeter systématiquement les questions et les préoccupations des consommateurs, et traiter d’obtus et de propos niaiseux ceux qui les rapportent ne contribue en rien à l’avancement de la chose! Et oui, dans mon esprit, la Volt est celle qui répond le mieux aux besoins de la majorité, ce que je ne me suis jamais privé de dire. Rappelez-vous cependant qu’elle consomme aussi du carburant!
M Bouchard.
Le problème que vous projetez est que vous essayer toujours de prendre un VÉ pour remplacer tous les véhicule à essence.
Si au moins vous osiez dire que si un ménage a deux véhicule à la maison, un Véhicule électrique serait de mise pour faire économiser au couple.
Vous parlez toujours qu’un VÉ ne peut pas faire Montréal Québec sans se recharger quand 90% des déplacements d’un couple se situe en deça de 90 km ce que tout VÉ fait présentement.
Seulement de mentionner ce fait dans vos commentaires vous ferait gagner en estime dans toute la communauté de Véiste.
Non le VÉ ne peut pas aujourd’hui remplacer tout le voitures à essence, mais de grace ouvrez votre esprit et amener les gens à considérer l’achat d’un VÉ comme second véhicule.
Alors comme à peu près tout ceux qui ont pris cette décision, les gens verront que le véhicule à essence deviendra le second véhicule.
Au plaisir de vous relire vos chroniques avec des termes plus respectueux pour les Véhicle électrique.
Je me permettrai de vous glisser un article écrit l’année dernière, dans lequel j’exprime clairement mes craintes, mais aussi mes convictions que la voiture électrique correspond aux besoins de certains:
http://www.autogo.ca/articles/31377/nissan-leaf-2015/
Dans votre article de 2014-09 sur la Leaf 2015, vous indiquez avoir fait le plein pour 2,62$ à 1$ de l’heure, après avoir parcouru une “distance totale de 16,1 km” et que “Cette dépense équivaut donc à une consommation de 9 l aux 100 km.”!! —– Outre que vous n’expliquez pas votre calcul, vous omettez de dire que la recharge à la maison coûte beaucoup moins cher et que celle-ci est utilisée 95% du temps par les propriétaires de Leaf.
Ce n’est pas donner les deux côtés de la médaille.
Monsieur Bastien,
je vous inviterais à lire le premier paragraphe du texte mentionné, que je reproduis ici:
“La Nissan Leaf est toute électrique. Vivre à son volant, sans être propriétaire d’un chargeur, devient un défi de tous les instants. Je sais que je ne suis pas la clientèle-cible typique: résidant de la banlieue un peu plus lointaine, je travaille au cœur du centre-ville montréalais et pour avoir accès à une borne de recharge publique, je dois défrayer le coût d’accès au stationnement.”
Je pense que cela situe assez bien le contexte….
Pour le calcul, il suffit de savoir combien coûtait l’essence par litre au moment de la publication de l’article!
M Bouchard, donc si on se fie aux données de l’article, vous considérez qu’il a coûté 2,62$ pour recharger 16,1 km sur une borne tarifée à 1$/h. En fait, la Leaf devait alors avoir besoin d’environ 3 kWh ce que la borne à 240 Volts peut fournir en 1/2 heure. Donc, si on l’avait débranchée après 1/2 heure, elle aurait été pleine et la recharge n’aurait coûté que 0,50$ soit 5 fois moins que le 9 l/100 km de votre conclusion. Mais si vous étiez resté au bureau pendant 4 heures, la recharge aurait coûté 4$ et la consommation équivalente aurait été 13,7 l/100 km.
Est-ce qu’il manque des données dans l’article pour bien comprendre?
En fait, j’ai débranché la voiture dans les dix minutes qui ont suivi la confirmation par mon application mobile que la recharge était complète. je vous avoue ne pas avoir tenu compte des capacités théoriques (c’est à dire de la charge en une demie-heure selon les normes) puisque ce n’est pas ce qui s’est produit. Quant à savoir si la borne, ou ma voiture, avait une déficience, je n’en sais rien. Tout ce que je sais, c’est combien il m’en a coûté. Pas de théorie, pas de complot, seulement une facture et une distance. C’est malheureusement tout ce dont on dispose pour effectuer ce genre de calcul!
Comme une Leaf 2015 se recharge en 5 heures sur le 240 Volts, ayant rechargée en 2,62 heures pour 16,1 km, elle aurait rechargé de la moitié environ de la capacité de la batterie; donc l’autonomie serait de l’ordre de 32 km!!!
Quand on prend des mesures pour tirer des conclusions importantes dans un article publié sur un site sérieux, il vaut mieux prendre plusieurs mesures et faire des contre vérifications.
Monsieur Bastien,
Je vous fournirai une dernière réponse dans une discussion qui tourne en rond (voir mon commentaire sur l’intransigeance de certains apôtres des VÉ).
Quand je fais le test d’une voiture à essence, mon analyse se fait sur la consommation observée au cours de l’essai. Pourquoi en serait-il autrement avec une Leaf?
Je sais, vous serez insatisfait encore une fois.
Dommage….
M. Bouchard, si quelqu’un faisait l’essai d’une Civic et que, pour mesurer sa consommation, s’il roulait sur 16 km, faisait le plein et concluait: 15 litres /100 km. Qu’il n’avait rien vérifié d’autre et qu’il argumentait “ce sont mes données, point”. Que diriez-vous?
“l’intransigeance de certains apôtres des VÉ”? Une façon de s’en tirer quand on est coincé?
Je m’abstenais d’utiliser ces mots, mais puisque vous les avez mis en texte M. Bouchard, je crois que c’est plutôt vous qui tourné en rond et non pas la discution. Si les principes de base de l’électricité vous échappe, borne de recharge, kWh, km / kWh , ampérage, il faut faire une mise à niveau. Cela pour le bénéfice de vos lecteurs, mieux comprendre les particularités d’un VÉ et surtout moins souffrir d’anxiété.
Je viens d’aller faire un tour dans vos articles de cette année.
Quel message voulez-vous passer en parlant sur le site au nom très clair ÉcoloAuto de :
le VUS Mercedes-Benz GLS 350d;
la Mercedes-Benz Classe C coupé 2017;
la VW Golf R 2016;
l’Infiniti Q30;
l’Alfa-Romeo Giulia;
la Honda Civic Type-R;
les voitures rétro pour bal de finissants.
Aucun de ces articles ne parlent des avantages écologiques d’acheter ces véhicules sauf pour le GLS mais vous n’en donnez pas la consommation.
Je constate que vous avez laissé de côté le Rav4 hybride, mon texte sur les investissements de Ford en matière d’électrification, la venue de la Hyundai Ioniq. Comme d’habitude alors, vous ne lisez que ce qui vous convient. C’est exactement ce genre d’attitude que je dénonce dans le dossier des VE: sus à celui qui ose dire quelque chose..
Quant au GLS, si vous aviez bien lu, vous auriez su que les cotes de consommation et la puissance nord américaine officielles ne sont pas encore disponibles. En revanche, le diesel a fait très bonne figure lors de notre essai.
Le diesel peut réduire légèrement l’émission des GES, mais en augmentant les émissions des NOx. Si je ne me trompe pas, cela ne fait pas longtemps que vos collègues parlaient de la TDI comme partie de la solution. Par exemple, l’amateur #1 des diesels au Canada est Jim Kenzie, un chroniqueur qui ne rate jamais une occasion pour denigrer les VE.
Je n’ai rien laissé de côté. Vous répondez à côté. La majorité de vos articles parlent de sujets reliés au thème du site. Ce que je veux savoir c’est: Qu’est-ce que fait une Mercedes-Benz Classe C coupé 2017 sur un site écologique ou une voiture rétro à un bal de finissants?
Difficile de répondre?
Au contraire, très facile de répondre, mais pas absolument nécessaire dans mon esprit. Sachez que Ecoloauto.com, contrairement à Roulezélectrique par exemple, ne se veut pas un site de promotion d’un mode de locomotion plutôt que d’un autre. Les consommateurs, en général, sont portés vers la consommation (l’absence ou la surabondance) plutôt que strictement sur le mode électrique. Ecoloauto.com traite donc des nouveautés dans cette optique, tout en s’assurant de garder ses lecteurs informés des principales nouveautés. Il arrive aussi, c’était le cas de la voiture ancienne, qu’on veuille traiter le sujet de façon plus légère en mentionnant notamment l’abondante consommation de l’époque. Alors, consommation oui. Mais électrique ou voitures vertes, pas nécessairement. Nous préférons l’information générale dans l’esprit de la consommation.
Merci pour les éclaircissements. Beau site.
Bonjour M. Bouchard.
Je suis heureux que vous ayez pris le temps de répondre sur ce site parce que cela démontre votre intérêt pour cette technologie et votre disposition à être mieux renseigné.
Je pense que vous avez comparé les passionnés que nous sommes avec des intégristes ou Ahyatola dans un de vos articles.
Personnellement, cela m’indiffère complètement d’être comparé à quelque chose que personne ne comprend très bien dans le monde occidental, c’est-à-dire que je ne sais même pas si c’est un compliment ou une insulte bien que c’était l’intention du propos.
Peu importe, pour moi ce qui compte ce sont les faits, et c’est justement parce que la majorité des chroniqueurs ne s’attarde pas aux faits, ou aux expériences réelles des propriétaires de véhicule électrique et rédige leur article sans avoir fait le tour de la question que c’est assez commun de noter des écarts risibles entre ce que décrivent certain chroniqueur plutôt nombreux.
Était-ce vous, M. Bouchard, qui lors du dévoilement du plan d’électrification présenté tour à tour par M. Couillard et Poëti étiez le spécialiste invité pour le commenter?
Si ce n’est vous, c’est un drôle de zigoto qui s’est permis de prétendre être expert, tout en coupant en quatre le nombre de bornes publiques installé au Québec, alors que M.Couillard et M. Poëti venaient précisément d’en préciser le nombre avant l’intervention.
Ce genre de chose ne passe pas inaperçu et démontre simplement un grand laxisme dans le travail de cet expert.
Il ajoutait en plus que le Québec comptait bien moins de bornes de recharge que les États-Unis, ce qui rendait l’utilisation du véhicule électrique encore plus précaire.
Il avait évidemment raison sur ce point, mais oubliait de faire l’effort de calcul simple de compter le nombre de bornes disponibles par habitant qui aurait en démontrer une image tout à fait différente.
En effet, il y a ici au Québec, deux fois plus de bornes disponibles par habitant qu’aux États-Unis.
Enfin un autre moment un autre expert, il y a moins de quatre mois prétendait avec grand sérieux que la voiture électrique prenait 3 jours pour faire le trajet de Québec à Montréal.
Dans n’importe quel domaine d’expertise de tel pseudo spécialiste ne dureraient pas une semaine.
Quoiqu’il y a aussi la géopolitique qui a eu son François Bougingo.
S.V.P., continuez de nous lire et sachez qu’il y a ici une source d’information foisonnante et aucun ayatollah.
Monsieur Santerre,
petite précision pour vous: selon Wikipédia,dans la langue française courante, le terme ayatollah est également employé pour désigner une personne particulièrement intransigeante sur un sujet précis.Je pense que bon nombre de commentaires mentionnés ici, incluant ceux traitant les journalistes de vendus, correspondent à cette définition.
Pour les 3 jours, c’est exact, et je l’ai expliqué à maintes reprises: c’était une exagération volontaire faite dans un contexte spécifique. devant ce tollé, j’aurais dû choisir la phrase “ça prendra une éternité”, mais j’aurais peur de me faire dire que l’éternité n’existe pas.
Ramenez vous aussi dans le contexte de cette entrevue. À ce moment, aucune borne n’existe le long de la 20 outre St-Hyacinthe et Levis, une distance de 188 kilomètres impossible à réaliser avec une seule charge. Il fallait donc faire un détour par Victoriaville pour se recharger efficacement (Drummondville n’est pas encore ouverte). Faites donc le calcul, et vous verrez qu’au moment de l’entrevue, passer par l’autoroute 20 (une obligation dans mon cas à défaut de faire un détour de 100 km) exigeait de nombreux tours de passe passe et beaucoup, beaucoup de patience. Il est exact qu’aujourd’hui, ces données ont changé.
Quant à l’entrevue au moment du dévoilement du plan Poeti, je ne me souviens pas d’avoir traité de ce dossier. Peut-être l’ai-je fait, mais honnêtement, j’ignore dans quel contexte.
Oui, l’éternité existe! Mais, c’est toujours plus long vers la fin… Surtout quand la batterie est à terre et qu’il reste 20km à faire…
Merci M. Bouchard de répondre à la plupart des commentaires.
C’est toujours mieux de discuté que de s’eng…..
J’ai aussi consulté votre article du 25 septembre sur la Leaf et il m’apparait, outre vos appréhensions légitimes et partagées par plusieurs, qu’il y a lieu de mieux définir certains aspects de la voiture qui laisse place à des interprétations négatives qui ne devraient pas exister.
Si vous voulez, je peux en faire la liste et vous la soumettre?
Par ailleurs, lorsque vous dites le 3 mars 2015 qu’un voyage entre Québec et Montréal prendrait 3 jours parce qu’il n’y avait qu’une borne BRCC à Victoriaville c’est inexact, puisqu’avant celle de Victoriaville inauguré le 16 décembre 2014, il y a eu 7 autres bornes rapides mises en fonction justement pour le corridor Montréal-Québec sur la 40.
Borne de Maskinongé inauguré le 26 septembre 2014
Borne de Yamachiche inauguré le 24 octobre 2014
Borne de Trois-Rivière inauguré le 29 octobre 2014
Puis deux autre le 6 novembre 2014 au Village-relais Deschambault-Grondines et l’aire de service du Point-du-Jour à Lavaltrie.
Bref, il était déjà possible de faire ce trajet en quelques heures seulement.
On exclut les Tesla qui comme chacun sait, peuvent le faire sans recharger.
Si nous sommes des Ayattolah, c’est surtout pour la précision et l’exactitude, le restant suivant tout naturellement.
Monsieur Santerre
je consulterai votre liste avec plaisir. Vous pouvez même me l’envoyer par courriel à autos@cgocable.ca.
Je me dois aussi de vous préciser quelque chose: vous me parlez de toutes les bornes rapides sur la 40. J’ai bien expliqué dans mon commentaire que je devais passer par la 20, étant un résidant de la région montérégienne, et devoir passer par la 40 m’exigerait une rallonge de plus de 100 km de mon parcours. Or, au moment de l’entrevue, outre Victoriaville, aucune borne rapide n’était en fonction le long de l’autoroute 20.
Je vais prendre le temps de vous soumettre ma liste avec plaisir.
Pour les bornes, il est vrai que le réseau se développe d’une manière forcément inégale et inaccessible pour plusieurs, comme vous à partir de la Montérégie, mais il reste qu’il existait au moment de votre entrevue pour nombre de gens possédant une voiture électrique près de cet axe routier ainsi qu’a leur extrémité de ce trajet emblématique.
Donc, impossible pour vous de réaliser ce trajet en quelques heures, mais possible pour la plupart des propriétaires qui sont agglutinés le long de cette route très empruntée.
N’est-ce pas le genre de nuance que vos lecteurs ou auditeurs souhaiteraient connaître?
La précision est une des qualités de la conduite électrique et c’est aussi ce que bon nombre de leurs propriétaires apprécient dans leurs lectures ou écoutes.
Mais je ne saurai dire laquelle précède l’autre.
Une fausseté parmi un million, je ne traite pas LES journalistes de vendus, je VOUS accuse de mentir sans retenu pour servir les intérêts du cartel petro-automobile. M. Santerre, ne perdez pas votre temps avec ce genre d’individu, ce sont des patineurs démagogues d’une malhonnêteté intellectuelle digne de nos pires politiciens et/ou des grandes gueules des radios poubelle.
rien de tel qu’un commentaire sans fondement et totalement gratuit, caché derrière un pseudonyme sur un forum anonyme pour établir sa crédibilité! Bravo Prad…..
M. Duval dit que certains hounalistes sont obtus, parce qu’il ne peut pas dire carrément qu’ils sont vendus… nous on peut 🙂
Ayant été pétromobiliste et maintenant Véiste depuis 2012. Comme plusieurs le mentionnent ici, le constat est juste choquant quand on écoute et lis certains de vos collègues journalistes automobile. Moi si je vous dis que les transports de demain seront probablement collectifs au détriment du transport individuel qu’est la voiture électrique dans un contexte économique et de vie qui sera de plus en plus vert. Comment allez-vous réagir? Bien certaines personnes ont le même problème entre la thermique et l’électrique présentement.
Malgré le fait qu’au Canada, le Québec soit #1 en terme de véhicules électriques sur les routes et malgré l’existence de plusieurs sites web comme celui ci dédiés au VÉ, il reste beaucoup à faire pour VULGARISER ce qui distingue un VÉ d’un véhicule traditionnel, ses avantages et inconvénients et bien sûr comment ils se comparent économiquement parlant lors’n tient compte de TOUS les coûts reliés à la possession et à l’usage d’un véhicule.
Pas beaucoup de gens par exemple savent que depuis des décennies déjà les locomotives de trains de marchandises sont propulsées par des moteurs électriques, que ces locomotives sont en fait des hybrides : Un moteur diésel qui tourne une génératrice qui ailmente le moteur électrique et que c’est comme ça parce que tout comptes faits c’est plus économique qu’avec un moteur thermique seulement. La même logique économique s’applique aux VÉ.
Dans le même sens si plus de québécois étaient informés / conscientisés au fait que le pétrole que nous consommons pour le transport au Québec (plus de 10 milliards $ / année) sont des $$$ qu’on refile à l’extérieur du Québec) alors que l’énergie que nous avons en profusion ici (l’électricité) qui pourrait remplacer ce pétrole en grande partie, probablement que :
1. Ils s’intéresseraient d’avantage aux VÉ
2. Ils pousseraient peut-être nos politiciens à accélérer ce virage puisque il est dans notre intérêt collectif de le faire.
Voici un bel exemple de journalistes qui disent avec assurance un baquet de niaiseries et de faussetés sur les VÉ, Éric Duhaime et Nathalie Normandeau sur fm93 à Québec:
—————————————————————————————–
Titre : Québec imposera la norme ”zéro émission” pour les véhicules vendus dans la province! Est-ce faisable??
——————————————————————————————
http://www.fm93.com/lecteur/audio/quebec-imposera-la-norme-zero-emission-pour-le-298714.mp3
Ouf! Il y a de l’éducation à faire au Québec.
Benoit Charette a poursuivi son bon travail de présentation des VÉ, mais le temps alloué ne lui permet pas de faire une démonstration détaillée des avantages et des inconvénients.
Monsieur Duhaime est un provocateur hors-pair. Il aurait besoin d’une journée avec les électromobilistes de l’AVEQ pour s’informer un peu de leur réalité quotidienne. Je suis certain qu’il temporiserait ses propos. Et qu’il s’achèterait peut-être une Tesla pour faire si souvent Montréal-Québec à moindre frais 🙂 .
Madame Normandin est décevante pour une ex-ministre des Ressources naturelles et de la Faune de 2009 à 2011 qui dit avoir initié le programme de subvention pour l’achat de véhicules électriques mais qui n’est pas capable de défendre ce programme aujourd’hui. Et qui ne comprend pas ce qu’est une loi Zéro émission. Je lui suggère de consulter le site de la coalition http://www.czeq.org .
Malgré le fait qu’au Canada, le Québec soit #1 en terme de véhicules électriques sur les routes et malgré l’existence de plusieurs sites web comme celui ci dédiés au VÉ, il reste beaucoup à faire pour VULGARISER ce qui distingue un VÉ d’un véhicule traditionnel, ses avantages et inconvénients et bien sûr comment ils se comparent économiquement parlant lors’n tient compte de TOUS les coûts reliés à la possession et à l’usage d’un véhicule.
Pas beaucoup de gens par exemple savent que depuis des décennies déjà les locomotives de trains de marchandises sont propulsées par des moteurs électriques, que ces locomotives sont en fait des hybrides : Un moteur diésel qui tourne une génératrice qui ailmente le moteur électrique et que c’est comme ça parce que tout comptes faits c’est plus économique qu’avec un moteur thermique seulement. La même logique économique s’applique aux VÉ.
Dans le même sens si plus de québécois étaient informés / conscientisés au fait que le pétrole que nous consommons pour le transport au Québec (plus de 10 milliards $ / année) sont des $$$ qu’on refile à l’extérieur du Québec) alors que l’énergie que nous avons en profusion ici (l’électricité) qui pourrait remplacer ce pétrole en grande partie, probablement que :
1. Ils s’intéresseraient d’avantage aux VÉ
2. Ils pousseraient peut-être nos politiciens à accélérer ce virage puisque il est dans notre intérêt collectif de le faire.
Les principaux critères faisant qu’un véhicule électrique soit dénigré sont souvent l’autonomie et le temps de recharge. C’est surtout à ce niveau que l’on entend les pires calomnies, même de la part de professionnels. En quoi les VÉ dérangent-ils tant certains dinosaures? Je l’ignore mais vaut mieux prendre certaines opinions avec un grain de sel.
Les principaux critères faisant qu’un véhicule électrique soit dénigré sont souvent l’autonomie et le temps de recharge. C’est surtout à ce niveau que l’on entend les pires calomnies, même de la part de professionnels. En quoi les VÉ dérangent-ils tant certains dinosaures? Je l’ignore mais vaut mieux prendre certaines opinions avec un grain de sel.
Je ne lis plus les articles concernant les thermiques et à la lumière des erreurs et faussetés publiées sous la plume ,(je suis trop gentil ) de ces journalistes obtus, je ne manque rien. Peu importe le fiel qu’ils garrochent, l’électrique s’imposera. Ces gens obtus ne veulent pas voir les avantages, tant pis pour eux mais moi, ça me coûte 7 fois moins cher sans polluer et je fais le plein de watts chez moi sans que mes mains ne puent en touchant le pistolet. Je voudrais qu’ils considèrent aussi qu’on n’aurait pas une planète si mal en point si le pétrole facile ne nous avait pas été proposé il y a plus de cent ans. Combien de ces journalistes ne réalisent même pas que le grand nombre de jeunes enfants ( souvent les leurs ) font de l’asthme et doivent inhaler des médicaments justement à cause de la pollution atmosphérique qu’eux mêmes encouragent ? Méritons-nous de tels journalistes obtus qui ne parlent que d’autonomie ? L’important, c’est l’autonomie journalière puisqu’on fait le plein chez soi. À quoi bon transporter du pétrole pour 600 km quand on peut faire sa journée avec 50 ? Et si on a besoin de plus, il y a les hybrides branchables qui sont une belle solution tampon en attendant mieux.
Je ne lis plus les articles concernant les thermiques et à la lumière des erreurs et faussetés publiées sous la plume ,(je suis trop gentil ) de ces journalistes obtus, je ne manque rien. Peu importe le fiel qu’ils garrochent, l’électrique s’imposera. Ces gens obtus ne veulent pas voir les avantages, tant pis pour eux mais moi, ça me coûte 7 fois moins cher sans polluer et je fais le plein de watts chez moi sans que mes mains ne puent en touchant le pistolet. Je voudrais qu’ils considèrent aussi qu’on n’aurait pas une planète si mal en point si le pétrole facile ne nous avait pas été proposé il y a plus de cent ans. Combien de ces journalistes ne réalisent même pas que le grand nombre de jeunes enfants ( souvent les leurs ) font de l’asthme et doivent inhaler des médicaments justement à cause de la pollution atmosphérique qu’eux mêmes encouragent ? Méritons-nous de tels journalistes obtus qui ne parlent que d’autonomie ? L’important, c’est l’autonomie journalière puisqu’on fait le plein chez soi. À quoi bon transporter du pétrole pour 600 km quand on peut faire sa journée avec 50 ? Et si on a besoin de plus, il y a les hybrides branchables qui sont une belle solution tampon en attendant mieux.
Difficile de répondre?
Au contraire, très facile de répondre, mais pas absolument nécessaire dans mon esprit. Sachez que Ecoloauto.com, contrairement à Roulezélectrique par exemple, ne se veut pas un site de promotion d’un mode de locomotion plutôt que d’un autre. Les consommateurs, en général, sont portés vers la consommation (l’absence ou la surabondance) plutôt que strictement sur le mode électrique. Ecoloauto.com traite donc des nouveautés dans cette optique, tout en s’assurant de garder ses lecteurs informés des principales nouveautés. Il arrive aussi, c’était le cas de la voiture ancienne, qu’on veuille traiter le sujet de façon plus légère en mentionnant notamment l’abondante consommation de l’époque. Alors, consommation oui. Mais électrique ou voitures vertes, pas nécessairement. Nous préférons l’information générale dans l’esprit de la consommation.
Merci pour les éclaircissements. Beau site.
Je remarque que depuis quelque temps, La Presse place beaucoup plus d’articles sur les VE, et en particulier, sur la partie Xtra (Chevrolet Volt). Ce qui montre probablement que les commentaires de roulezelectrique.com portent fruit. Si on conserve un langage poli et qu’on évite les insultes, et qu’en plus, on fait attention à la langue française, cela finit toujours par produire des résultats. Et j’en remercie les journalistes de La Presse. Personnellement, je calcule qu’après 18 mois (en fait plus que cela actuellement), j’ai tenu une moyenne de 66% en électrique avec la Volt. Ce qui donne un équivalent de une année complète en mode électrique (comme une Leaf) et 6 mois en mode hybride (comme une Prius, mais avec moins d’efficacité).
Je remarque que depuis quelque temps, La Presse place beaucoup plus d’articles sur les VE, et en particulier, sur la partie Xtra (Chevrolet Volt). Ce qui montre probablement que les commentaires de roulezelectrique.com portent fruit. Si on conserve un langage poli et qu’on évite les insultes, et qu’en plus, on fait attention à la langue française, cela finit toujours par produire des résultats. Et j’en remercie les journalistes de La Presse. Personnellement, je calcule qu’après 18 mois (en fait plus que cela actuellement), j’ai tenu une moyenne de 66% en électrique avec la Volt. Ce qui donne un équivalent de une année complète en mode électrique (comme une Leaf) et 6 mois en mode hybride (comme une Prius, mais avec moins d’efficacité).
Je crois que M. Duval est un bel exemple d’ouverture d’esprit. Oui il à fait des erreurs lors de ses premiers contacts avec une leaf. La conduite électrique diffère un peu. Malgré cela il a pris le temps de s’y intéresser, de questionner et de démystifier le vrai du faux. N’es-ce pas ça l’essence (ha ha jeu de mot) même de l’esprit journalistique: la curiosité, la vivacité d’esprit, le sens de l’analyse et de synthèse et l’impartialité. En plus, il faut ètre intéressant et bon communicateur. Ces épithètes collent à M. Duval. Du haut des ses 81 ans on pourrait plus facilement dire de lui qu’il a l’esprit obtus, mais c’est tout le contraire. Ce qui prouve qu’on peux être un “vieux boqué” à 40 ans et un jeune curieux à 80.
Il y a trois types de gens qui commentent le mode automobile: les journalistes (avec les qualités énumérés plus tôt), les croniqueurs auto et les croniqueux. Combien de “journaliste automobile” ont une vraie formation journalistique? Être passionné d’un sujet ne fait pas de nous un journaliste(avec la morale et l’éthique journalistique). Par contre être passionné permet d’approfondir nos conaissances et de les partager avec enthousiasme.
Oui il y des esprits obtus et oui des calomnies sont colportés par certains (plusieurs) journalistes et croniqueurs. Si le chapeau (de cancre) vous fait, alors portez-le! Mais rapplez-vous qu’avec un peu d’effort intellectuel, un bonnet de cancre peux se changer en béret;-)
+10
C’est le commentaire du mois.
Superbe réflexion.
Je crois que M. Duval est un bel exemple d’ouverture d’esprit. Oui il à fait des erreurs lors de ses premiers contacts avec une leaf. La conduite électrique diffère un peu. Malgré cela il a pris le temps de s’y intéresser, de questionner et de démystifier le vrai du faux. N’es-ce pas ça l’essence (ha ha jeu de mot) même de l’esprit journalistique: la curiosité, la vivacité d’esprit, le sens de l’analyse et de synthèse et l’impartialité. En plus, il faut ètre intéressant et bon communicateur. Ces épithètes collent à M. Duval. Du haut des ses 81 ans on pourrait plus facilement dire de lui qu’il a l’esprit obtus, mais c’est tout le contraire. Ce qui prouve qu’on peux être un “vieux boqué” à 40 ans et un jeune curieux à 80.
Il y a trois types de gens qui commentent le mode automobile: les journalistes (avec les qualités énumérés plus tôt), les croniqueurs auto et les croniqueux. Combien de “journaliste automobile” ont une vraie formation journalistique? Être passionné d’un sujet ne fait pas de nous un journaliste(avec la morale et l’éthique journalistique). Par contre être passionné permet d’approfondir nos conaissances et de les partager avec enthousiasme.
Oui il y des esprits obtus et oui des calomnies sont colportés par certains (plusieurs) journalistes et croniqueurs. Si le chapeau (de cancre) vous fait, alors portez-le! Mais rapplez-vous qu’avec un peu d’effort intellectuel, un bonnet de cancre peux se changer en béret;-)
+10
C’est le commentaire du mois.
Superbe réflexion.
Pour répondre à votre question monsieur Bernier sur le nombre de chroniqueurs automobile qui ont une formation en journalisme au Québec, j’en connais trois: le spécialiste automobile de Protégez-Vous et deux au Guide de l’auto. Par contre, comme plusieurs autres métiers dans la vie, il n’est pas obligatoire d’avoir le “diplôme” pour bien faire avec professionnalisme ce métier. Plusieurs ont des formations voisines et une vaste expérience qui en font des spécialistes hors-pair. Certains ont ce que des journalistes ne peuvent avoir, de l’expérience de course sur piste ou en rallye, d’autres ont déjà démonté nombre de moteurs et refait des carrosseries. Quand ils vous parlent de tenue de route, de suspensions et de mécanique, ils savent de quoi ils parlent et ils sont capable de faire la part des choses entre leur expérience et ce que les PR des constructeurs veulent bien leur dire.
Comme dans bien d’autres domaines, il y a les bons et ceux qui ne courent qu’après les privilèges comme les voyages de presse et les voitures de luxe. Si vous partez en Californie tous frais payés pendant trois jours pour essayer une nouvelle Porsche, que vous avez bien bu et bien manger mais que vous ne publiez qu’un article de 15 lignes et sans photos originales (vous n’utilisez que les photos du constructeurs)et sans vidéo aucune vous n’avez pas fait votre job.
Si vous partez en voyage de presse et que vous revenez avec plusieurs textes fouillés, des photos, de la vidéo, que vous avez mis des photos et du texte sur les médias sociaux de votre employeur pendant votre voyage (et pas juste sur votre compte perso) et que vous publiez dans les jours qui suivent et non pas deux mois plus tard, après tous les autres, là vous avez fait votre job. Ça peut avoir l’air glamour de loin mais quand elle est bien faite, c’est une job fatiguante et éreintante.
Bref, il y a ceux qui demandent: à quelle heure le souper? et les autres qui posent des questions au-delà du dossier de presse.
Je suis, cette fois, d’accord avec monsieur Savoie quant au facteur éreintant et exigeant du boulot malgré (oui oui) certaines conditions de travail fort agréables.
En revanche, je dois préciser que plus de la moitié des journalistes automobiles du Québec ont des formations journalistiques, totales ou partielles. C’est mon cas, celui des gens chez Auto123.com, plusieurs membres de l’équipe du Guide de l’auto, des gens de chez Autonet.ca, de La Presse, etc. Bref, la plupart des sites sérieux ont embauché des journalistes de formation, formations auxquelles ils ont souvent ajouté des cours techniques et des expériences de conduite variées. Autre détail intéressant, la quasi totalité des journalistes automobiles québécois ont aussi une formation universitaire dans d’autres domaines (science, politique, affaires internationales, enseignement, MBA), etc…Sincèrement, les journalistes québécois sont très bien formés, je n’ai aucun doute sur la question.
L’éthique journalistique, c’est justement de voir les deux côtés d’une même médaille. J’ai rarement entendu un journaliste automobile déclarer que les voitures électriques étaient mauvaises. Qu’elles ne répondent pas à tous les besoins, qu’elles sont parfois contraignantes et que le réseau de bornes est insuffisant sont des faits (même si le réseau croit avec rapidité). Affirmer le contraire relève de l’aveuglement volontaire. Alors dénoncer ( et même traiter de vendus) les journalistes qui le font…. Bref, je persiste et signe: les voitures électriques sont importantes et sont un des maillons de la chaine qui nous mènera à abaisser les émissions. Mais dans leur forme actuelle, elles sont loin de répondre aux besoins de tous et ne sont pas la seule solution. Ça pour moi, c’est être assez objectif pour s’appeler journaliste, comme me l’a appris ma formation! (Notez aussi que les journalistes sont des communicateurs qui utilisent parfois des formes littéraires comme l’ironie et l’exagération dans un contexte donné. Il faut aussi savoir l’apprécier!)
Le sujet n’est ni à propos ni pertinent dans le cadre de cette discussion. Si nous étions sur une autre plateforme, cela frôlerait le troling, un genre de commentaire auquel je ne répond pas, faute de valeur.
De quel commentaire au juste parlez-vous?
Je demeure persuadé que vous bénéficierez de cette plateforme et par ricochet vos lecteurs également.
Une chose fondamentale devrait vous apparaître clairement.
Il ne faut jamais oublier que tous ceux qui ont fait le choix d’une voiture électrique avaient et ont toujours le choix de choisir une thermique, mais ne l’ont pas fait.
Certains étaient et demeure des mordus de performance qui ont largement apprécié la conduite de véhicule thermique sous toutes ses formes.
Le contraire n’est pas toujours aussi facile et plus limité en diversité de modèle, de prix et d’option d’acquisition, ce qui est aussi un frein important pour les consommateurs qui souhaiteraient passer à l’électrique.
Mais cette situation se transforme rapidement et il serait pertinent d’en tenir compte aussi.
Un journalisme alerte devrait saisir cette l’opportunité et comprendre les motivations et réflexions qui ont guidé ces gens dans leur choix, malgré les embûches et lacunes que tous reconnaissent, mais avec des appréciations fort différentes.
Voir les deux côtés de la médaille est difficile quand on évacue une lacune fondamentale des véhicules thermiques qui sont leur nuisance environnementale beaucoup plus importante. Gaz à effet de serre, odeur, chaleur excessive, pollution, bruit et entretien programmé onéreux.
Peut-être qu’un rappel constant de cette réalité faciliterait un regard neutre, à moins bien sûr qu’un choix éditorial guidé sur leurs plus importants commanditaires, l’industrie automobile ne dicte un aveuglement ou un éloignement de ce sujet peu vendeur.
Peu de gens ont le courage de mordre la main qui les nourrit, quand bien même celle-ci les étranglerait de l’autre.
Être ni maître ni esclave est aussi une valeur journalistique recherchée.
désolé, c’était un commentaire en privé que j’ai mal placé tout simplement. Je suis parfaitement en accord avec le fait que des gens choisissent l’électrique, pour les motifs qui leur sont propres (allant de la protection de l’environnement à la simple conviction). En revanche, je le répète, affirmer que le VE sont la seule solution demeure une utopie. Traiter de la trop abondante consommation, ou d’émissions trop imposantes, sont des éléments qui reviennent régulièrement dans nos textes. Pas dans tous, j’en conviens puisque parfois, la limite est plus tolérable et ce n’est pas la mission de toutes les voitures de jouer l’environnement (tout le monde sait qu’un gros utilitaire consomme trop et pollue d’abondance). La mission de VÉ, cependant, est de remplacer le véhicule traditionnel. Dans cet esprit, traiter de l’autonomie est aussi important que de discuter du rouage intégral d’un JEEP; cela fait partie de la personnalité même du véhicule, et des préoccupations des gens qui les magasinent. Et je vous en prie, ne tombez pas dans l’absurde facilité de qualifier les journalistes automobiles de vendus. Soyons sérieux, le dirigeant même de ce site gagne une partie de sa vie en vendant des accessoires pour voitures électriques. Cela me semble autrement plus tendancieux qu’un supposé pot-de-vin qui me serait versé (et duquel je n’ai jamais vu la couleur, quoiqu’en pense n”importe qui).
M. Bouchard, vous avez écrit: “Mais dans leur forme actuelle, elles sont loin de répondre aux besoins de tous et ne sont pas la seule solution. “————————- C’est exactement là le problème de perspective. Quand vous faites l’essai d’un gros SUV de Mercedes, vous ne dites pas “oui mais, cela ne correspond pas à tous les besoins”. Personne ici ne dit que les Leaf ou les Tesla répondent à tous les besoins. Même que l’on déplore souvent qu’il n’y a pas de petit SUV disponible au Québec; par exemple, le Outlander PHEV de Mitsubishi n’est pas encore livrable au Québec. ————- Par contre, on peut dire que la très grande majorité des ménages qui ont deux automobiles pourraient en avoir une tout électrique, ce qui répondrait au besoin de plusieurs centaines de milliers de personnes. Il faut juste penser différemment. Et la grande majorité des autres pourraient utiliser des hybrides rechargeables comme la Volt, s’il peuvent recharger à la maison, ce qui représente combien de personnes? ———– Aucun véhicule répond à tous les besoins, ni n’est la seule solution. ————- Il vous changer de perspective.
Bon raisonnement M.Bastien et j’ajouterais que si dans le contexte actuel notre gouvernement OSAIT provoquer les virages que nous devront faire au Québec s’ils sont le moindrement cohérents avec les positions qu’ils ont pris à la Conférence de Paris il commencerait pas informer le public que :
– La majorité des GES que nous produisons au Québec résultent du pétrole que nous brûlons dans nos moteurs thermiques (transport individuel, transport commercial, transport en commun)
– Que ce pétrole on l’achète de l’extérieur du Québec et ces $$$ qu’on envoie ailleurs (autour de 10 milliards $ / année pour le transport seulement) pourraient être conservés ici et faire rouler l’économie d’ici si on remplaçait graduellement une bonne partie de cette source d’énergie par l’électricité produite au Québec.
Cette sensibilisation faite, ce gouvernement “responsable” pourrait pas la suite instaurer un système de bonus-malus qui par exemple inciterait fortement les familles qui ont 2 voitures à moteur thermique à en remplacer une par une tout électrique ou une hybride. Il pourrait aussi décréter (pas juste en parler: http://www.journaldemontreal.com/2015/12/08/quebec-imposera-la-norme-zero-emission-pour-les-vehicules-vendus-dans-la-province) que les nouveaux véhicules entrants au Québec devront respecter la norme “Zéro émission”.
Et sur la même lancé mais on focusant sur l’économie, ce Gouv devrait mettre de la viande autour de l’os de son projet d’Électrification des transports au Québec mais en favorisant le développement ici au Québec d’une industrie associée à ce projet d’électrification des transports (R&D et fabrication ici de composantes de ces systèmes de transport électriques plutôt que de se limiter à importer tout ça.
Le Gouv a créé des attentes dans ce sens là et ça tombe sous le sens que cette direction là est la bonne pour le Québec, mais il faudra passer à l’acte si on a comme ambition de devenir des leaders du transport électriques au Québec ( pourquoi pas ! ) sinon on se fera doubler sous peu, d’autres qui savent où se trouve leurs intérêts à moyen et long terme verront certainement la même opportunité.
Pour répondre à votre question monsieur Bernier sur le nombre de chroniqueurs automobile qui ont une formation en journalisme au Québec, j’en connais trois: le spécialiste automobile de Protégez-Vous et deux au Guide de l’auto. Par contre, comme plusieurs autres métiers dans la vie, il n’est pas obligatoire d’avoir le “diplôme” pour bien faire avec professionnalisme ce métier. Plusieurs ont des formations voisines et une vaste expérience qui en font des spécialistes hors-pair. Certains ont ce que des journalistes ne peuvent avoir, de l’expérience de course sur piste ou en rallye, d’autres ont déjà démonté nombre de moteurs et refait des carrosseries. Quand ils vous parlent de tenue de route, de suspensions et de mécanique, ils savent de quoi ils parlent et ils sont capable de faire la part des choses entre leur expérience et ce que les PR des constructeurs veulent bien leur dire.
Comme dans bien d’autres domaines, il y a les bons et ceux qui ne courent qu’après les privilèges comme les voyages de presse et les voitures de luxe. Si vous partez en Californie tous frais payés pendant trois jours pour essayer une nouvelle Porsche, que vous avez bien bu et bien manger mais que vous ne publiez qu’un article de 15 lignes et sans photos originales (vous n’utilisez que les photos du constructeurs)et sans vidéo aucune vous n’avez pas fait votre job.
Si vous partez en voyage de presse et que vous revenez avec plusieurs textes fouillés, des photos, de la vidéo, que vous avez mis des photos et du texte sur les médias sociaux de votre employeur pendant votre voyage (et pas juste sur votre compte perso) et que vous publiez dans les jours qui suivent et non pas deux mois plus tard, après tous les autres, là vous avez fait votre job. Ça peut avoir l’air glamour de loin mais quand elle est bien faite, c’est une job fatiguante et éreintante.
Bref, il y a ceux qui demandent: à quelle heure le souper? et les autres qui posent des questions au-delà du dossier de presse.
Je suis, cette fois, d’accord avec monsieur Savoie quant au facteur éreintant et exigeant du boulot malgré (oui oui) certaines conditions de travail fort agréables.
En revanche, je dois préciser que plus de la moitié des journalistes automobiles du Québec ont des formations journalistiques, totales ou partielles. C’est mon cas, celui des gens chez Auto123.com, plusieurs membres de l’équipe du Guide de l’auto, des gens de chez Autonet.ca, de La Presse, etc. Bref, la plupart des sites sérieux ont embauché des journalistes de formation, formations auxquelles ils ont souvent ajouté des cours techniques et des expériences de conduite variées. Autre détail intéressant, la quasi totalité des journalistes automobiles québécois ont aussi une formation universitaire dans d’autres domaines (science, politique, affaires internationales, enseignement, MBA), etc…Sincèrement, les journalistes québécois sont très bien formés, je n’ai aucun doute sur la question.
L’éthique journalistique, c’est justement de voir les deux côtés d’une même médaille. J’ai rarement entendu un journaliste automobile déclarer que les voitures électriques étaient mauvaises. Qu’elles ne répondent pas à tous les besoins, qu’elles sont parfois contraignantes et que le réseau de bornes est insuffisant sont des faits (même si le réseau croit avec rapidité). Affirmer le contraire relève de l’aveuglement volontaire. Alors dénoncer ( et même traiter de vendus) les journalistes qui le font…. Bref, je persiste et signe: les voitures électriques sont importantes et sont un des maillons de la chaine qui nous mènera à abaisser les émissions. Mais dans leur forme actuelle, elles sont loin de répondre aux besoins de tous et ne sont pas la seule solution. Ça pour moi, c’est être assez objectif pour s’appeler journaliste, comme me l’a appris ma formation! (Notez aussi que les journalistes sont des communicateurs qui utilisent parfois des formes littéraires comme l’ironie et l’exagération dans un contexte donné. Il faut aussi savoir l’apprécier!)
M. Bouchard, vous avez écrit: “Mais dans leur forme actuelle, elles sont loin de répondre aux besoins de tous et ne sont pas la seule solution. “————————- C’est exactement là le problème de perspective. Quand vous faites l’essai d’un gros SUV de Mercedes, vous ne dites pas “oui mais, cela ne correspond pas à tous les besoins”. Personne ici ne dit que les Leaf ou les Tesla répondent à tous les besoins. Même que l’on déplore souvent qu’il n’y a pas de petit SUV disponible au Québec; par exemple, le Outlander PHEV de Mitsubishi n’est pas encore livrable au Québec. ————- Par contre, on peut dire que la très grande majorité des ménages qui ont deux automobiles pourraient en avoir une tout électrique, ce qui répondrait au besoin de plusieurs centaines de milliers de personnes. Il faut juste penser différemment. Et la grande majorité des autres pourraient utiliser des hybrides rechargeables comme la Volt, s’il peuvent recharger à la maison, ce qui représente combien de personnes? ———– Aucun véhicule répond à tous les besoins, ni n’est la seule solution. ————- Il vous changer de perspective.
Bon raisonnement M.Bastien et j’ajouterais que si dans le contexte actuel notre gouvernement OSAIT provoquer les virages que nous devront faire au Québec s’ils sont le moindrement cohérents avec les positions qu’ils ont pris à la Conférence de Paris il commencerait pas informer le public que :
– La majorité des GES que nous produisons au Québec résultent du pétrole que nous brûlons dans nos moteurs thermiques (transport individuel, transport commercial, transport en commun)
– Que ce pétrole on l’achète de l’extérieur du Québec et ces $$$ qu’on envoie ailleurs (autour de 10 milliards $ / année pour le transport seulement) pourraient être conservés ici et faire rouler l’économie d’ici si on remplaçait graduellement une bonne partie de cette source d’énergie par l’électricité produite au Québec.
Cette sensibilisation faite, ce gouvernement “responsable” pourrait pas la suite instaurer un système de bonus-malus qui par exemple inciterait fortement les familles qui ont 2 voitures à moteur thermique à en remplacer une par une tout électrique ou une hybride. Il pourrait aussi décréter (pas juste en parler: http://www.journaldemontreal.com/2015/12/08/quebec-imposera-la-norme-zero-emission-pour-les-vehicules-vendus-dans-la-province) que les nouveaux véhicules entrants au Québec devront respecter la norme “Zéro émission”.
Et sur la même lancé mais on focusant sur l’économie, ce Gouv devrait mettre de la viande autour de l’os de son projet d’Électrification des transports au Québec mais en favorisant le développement ici au Québec d’une industrie associée à ce projet d’électrification des transports (R&D et fabrication ici de composantes de ces systèmes de transport électriques plutôt que de se limiter à importer tout ça.
Le Gouv a créé des attentes dans ce sens là et ça tombe sous le sens que cette direction là est la bonne pour le Québec, mais il faudra passer à l’acte si on a comme ambition de devenir des leaders du transport électriques au Québec ( pourquoi pas ! ) sinon on se fera doubler sous peu, d’autres qui savent où se trouve leurs intérêts à moyen et long terme verront certainement la même opportunité.
Le sujet n’est ni à propos ni pertinent dans le cadre de cette discussion. Si nous étions sur une autre plateforme, cela frôlerait le troling, un genre de commentaire auquel je ne répond pas, faute de valeur.
De quel commentaire au juste parlez-vous?
Je demeure persuadé que vous bénéficierez de cette plateforme et par ricochet vos lecteurs également.
Une chose fondamentale devrait vous apparaître clairement.
Il ne faut jamais oublier que tous ceux qui ont fait le choix d’une voiture électrique avaient et ont toujours le choix de choisir une thermique, mais ne l’ont pas fait.
Certains étaient et demeure des mordus de performance qui ont largement apprécié la conduite de véhicule thermique sous toutes ses formes.
Le contraire n’est pas toujours aussi facile et plus limité en diversité de modèle, de prix et d’option d’acquisition, ce qui est aussi un frein important pour les consommateurs qui souhaiteraient passer à l’électrique.
Mais cette situation se transforme rapidement et il serait pertinent d’en tenir compte aussi.
Un journalisme alerte devrait saisir cette l’opportunité et comprendre les motivations et réflexions qui ont guidé ces gens dans leur choix, malgré les embûches et lacunes que tous reconnaissent, mais avec des appréciations fort différentes.
Voir les deux côtés de la médaille est difficile quand on évacue une lacune fondamentale des véhicules thermiques qui sont leur nuisance environnementale beaucoup plus importante. Gaz à effet de serre, odeur, chaleur excessive, pollution, bruit et entretien programmé onéreux.
Peut-être qu’un rappel constant de cette réalité faciliterait un regard neutre, à moins bien sûr qu’un choix éditorial guidé sur leurs plus importants commanditaires, l’industrie automobile ne dicte un aveuglement ou un éloignement de ce sujet peu vendeur.
Peu de gens ont le courage de mordre la main qui les nourrit, quand bien même celle-ci les étranglerait de l’autre.
Être ni maître ni esclave est aussi une valeur journalistique recherchée.
désolé, c’était un commentaire en privé que j’ai mal placé tout simplement. Je suis parfaitement en accord avec le fait que des gens choisissent l’électrique, pour les motifs qui leur sont propres (allant de la protection de l’environnement à la simple conviction). En revanche, je le répète, affirmer que le VE sont la seule solution demeure une utopie. Traiter de la trop abondante consommation, ou d’émissions trop imposantes, sont des éléments qui reviennent régulièrement dans nos textes. Pas dans tous, j’en conviens puisque parfois, la limite est plus tolérable et ce n’est pas la mission de toutes les voitures de jouer l’environnement (tout le monde sait qu’un gros utilitaire consomme trop et pollue d’abondance). La mission de VÉ, cependant, est de remplacer le véhicule traditionnel. Dans cet esprit, traiter de l’autonomie est aussi important que de discuter du rouage intégral d’un JEEP; cela fait partie de la personnalité même du véhicule, et des préoccupations des gens qui les magasinent. Et je vous en prie, ne tombez pas dans l’absurde facilité de qualifier les journalistes automobiles de vendus. Soyons sérieux, le dirigeant même de ce site gagne une partie de sa vie en vendant des accessoires pour voitures électriques. Cela me semble autrement plus tendancieux qu’un supposé pot-de-vin qui me serait versé (et duquel je n’ai jamais vu la couleur, quoiqu’en pense n”importe qui).
M. Bouchard a écrit: “La mission de VÉ, cependant, est de remplacer le véhicule traditionnel.” et “Mais dans leur forme actuelle, elles sont loin de répondre aux besoins de tous et ne sont pas la seule solution.”———————- Soyons réalistes. Il y a présentement 8000 véhicules électriques au Québec, les ventes 2015 auront été de l’ordre 3000 et les constructeurs ont de la misère à les fournir. Si 200 000 personnes voulaient acheter un VÉ en 2016, ce serait catastrophique. Les vraies questions sont plutôt “À combien de personnes au Québec les VÉ actuels peuvent-ils convenir? Combien de VÉ les constructeurs peuvent-ils en livrer? (Essayer de commander un Volt présentement: selon un représentant GM, aucune en montre et impossible de placer une commande)” —————— Seulement dans l’agglomération de Longueuil, il y a 180 000 ménages et 1,5 véhicule par ménage, donc environ 90 000 “deuxièmes véhicules”. Si on voulait les faire passer tous à l’électricité en 10 ans, ce serait une demande de 9000 VÉ par année, dans l’agglo de Longueuil seulement! ———————— Et pour évaluer s’ils répondraient aux besoins, il faudrait alors mettre dans la balance les nouveaux modèles qui seront commercialisés d’ici 10 ans. Déjà la Leaf 2016 a 25% de plus d’autonomie et GM sortira la Bolt avec 300 km d’autonomie en 2016. Et les bornes de recharge rapides se multiplient rapidement, changeant complètement la donne ———- Si un journaliste veut rendre service à son public et l’informer de tous les côtés de la médaille, il doit voir les choses de façon plus large et faire valoir à son public quelles technologies émergentes conviennent déjà (et celles qui conviendront) aux différentes catégories de lecteurs.
Quand je parle de mauvaise foi… du journalisme, c’est pas une boule de cristal. Tous les journalistes ont rapporté la naissance prochaine de la Bolt et de la Tesla 3, mais personne ne les a encore testé, et personne ne peut confirmer leur capacité. Ce serait du bien mauvais journalisme que d’en parler comme d’une solution actuelle. Personne ne peut prévoir ce qui s’en vient réellement, avec Ford qui investit 4,5 milliards$, Toyota qui mise sur l’hydrogène, etc…
Quant au nombre, vous avez raison, totalement raison. C’est exactement ce que je dis: les voitures électriques conviennent à certaines personnes, dans certaines conditions spécifiques. Ce n’est pas parce qu’on veut les multiplier par 10 d’ici 10 ans (le plan québécois dans ce domaine) que les infrastructures sont prêtes. En fait, dans votre commentaire, je ne lis que ce que la plupart des journalistes ont déjà écrit.
Bon point au sujet de la neutralité, ça va dans un sens comme dans l’autre. Quand je pense qu’il y a en plus des automobilistes qui défendent bec et âme une marque en plus d’en faire les paiements mensuels. Personnellement je pense que l’on a un problème de ‘’consommation’’ rendu là. Autre point au sujet des besoins versus les modèles disponibles. Avec le dernier traité de Paris ce qui était des ‘’besoins’’ hier risquent rapidement de se transformés en désirs demain. Nous nous entendrons pour dire que les VE actuels ‘’pour la masse’’ avec seulement une centaine de kilos d’autonomie ont été conçus à fin de satisfaire les lois Zéro Émission aux USA et ensuite comblée la plupart des besoins des utilisateurs qui n’ont besoins que de faire plus de +/- 80km dans une journée et qui pour moi ça ‘’fait la job’’ comme on dit. Je suis confiant que d’ici deux ans lorsque les modèles de 300km et plus seront disponibles incluant éventuellement même des SUV on ne sera plus vraiment en train d’en débattre.
Nous sommes au début de quelque chose. Le meilleur est avenir. D’ailleurs je persiste à croire que la voiture ne sera plus nécessairement le premier choix pour les déplacements en région urbaine dense d’ici quelques années. Il faudra réduire globalement notre consommation énergétique par habitant et que nous allons être beaucoup trop pour les infrastructures existantes qui n’auront pas été ajustées selon la démographie. L’urbanisme actuel en témoigne déjà.
Monsieur Bouchard, je trouvais intéressant les discussions et commentaires de tous et chacun tout en comprenant que parfois, pour certains “mordus” de l’électrique, le jupon puisse dépasser légèrement. Toutefois, quand vous écrivez ci-haut “Soyons sérieux, le dirigeant même de ce site gagne une partie de sa vie en vendant des accessoires pour voitures électriques. ” je pense que vous dépassez toutes les bornes éthiques du “journalisme”. Vos mots sont totalement hors-propos et indignent de vos qualifications.
(Déclaration d’intérêt: j’ai possédé 10 thermiques, une Volt et maintenant une Tesla, achat financièrement totalement irrationnel dans mon cas, mais je l’assume 🙂 ).
Mon cher Jean
ce n’est pas une accusation ni un reproche, mais un constat. Cela établit clairement que le propriétaire de ce site a un intérêt marqué et tire des revenus des voitures électriques. C’est un simple fait, indéniable et qui teinte inévitablement sa vision. Ce qui, dans mon esprit, lorsque c’est totalement assumé, n’a rien de répréhensible. Mais je ne voudrais pas qu’on l’appelle un journaliste cependant, en raison de cet intérêt déclaré certes, mais intérêt pécuniaire quand même.Cela n’a rien de hors éthique de ma part.
Le “soyons sérieux” s’appliquait à certains individus, transis de peur, qui postent sur ce forum sous des pseudonymes en me traitant de vendu et de menteur à la solde des cartels du pétrole. Vous admettrez avec moi que cette accusation, sans fondement, est définitivement plus grave et demandait une rectification.
Je ne tire aucun revenu autre que mes revenus de journaliste de mes écrits, et je ne l’ai jamais fait.
Déclaration d’intérêt: au cours des dernières années, j’ai testé presque tous les modèles de voitures électriques possibles, y compris certains modèles réservés au marché européen, en plus de tester des voitures thermiques. C’est mon rôle…. 🙂
Je me permettrai de vous glisser un article écrit l’année dernière, dans lequel j’exprime clairement mes craintes, mais aussi mes convictions que la voiture électrique correspond aux besoins de certains:
http://www.autogo.ca/articles/31377/nissan-leaf-2015/
Dans votre article de 2014-09 sur la Leaf 2015, vous indiquez avoir fait le plein pour 2,62$ à 1$ de l’heure, après avoir parcouru une “distance totale de 16,1 km” et que “Cette dépense équivaut donc à une consommation de 9 l aux 100 km.”!! —– Outre que vous n’expliquez pas votre calcul, vous omettez de dire que la recharge à la maison coûte beaucoup moins cher et que celle-ci est utilisée 95% du temps par les propriétaires de Leaf.
Ce n’est pas donner les deux côtés de la médaille.
M. Bouchard a écrit: “La mission de VÉ, cependant, est de remplacer le véhicule traditionnel.” et “Mais dans leur forme actuelle, elles sont loin de répondre aux besoins de tous et ne sont pas la seule solution.”———————- Soyons réalistes. Il y a présentement 8000 véhicules électriques au Québec, les ventes 2015 auront été de l’ordre 3000 et les constructeurs ont de la misère à les fournir. Si 200 000 personnes voulaient acheter un VÉ en 2016, ce serait catastrophique. Les vraies questions sont plutôt “À combien de personnes au Québec les VÉ actuels peuvent-ils convenir? Combien de VÉ les constructeurs peuvent-ils en livrer? (Essayer de commander un Volt présentement: selon un représentant GM, aucune en montre et impossible de placer une commande)” —————— Seulement dans l’agglomération de Longueuil, il y a 180 000 ménages et 1,5 véhicule par ménage, donc environ 90 000 “deuxièmes véhicules”. Si on voulait les faire passer tous à l’électricité en 10 ans, ce serait une demande de 9000 VÉ par année, dans l’agglo de Longueuil seulement! ———————— Et pour évaluer s’ils répondraient aux besoins, il faudrait alors mettre dans la balance les nouveaux modèles qui seront commercialisés d’ici 10 ans. Déjà la Leaf 2016 a 25% de plus d’autonomie et GM sortira la Bolt avec 300 km d’autonomie en 2016. Et les bornes de recharge rapides se multiplient rapidement, changeant complètement la donne ———- Si un journaliste veut rendre service à son public et l’informer de tous les côtés de la médaille, il doit voir les choses de façon plus large et faire valoir à son public quelles technologies émergentes conviennent déjà (et celles qui conviendront) aux différentes catégories de lecteurs.
Quand je parle de mauvaise foi… du journalisme, c’est pas une boule de cristal. Tous les journalistes ont rapporté la naissance prochaine de la Bolt et de la Tesla 3, mais personne ne les a encore testé, et personne ne peut confirmer leur capacité. Ce serait du bien mauvais journalisme que d’en parler comme d’une solution actuelle. Personne ne peut prévoir ce qui s’en vient réellement, avec Ford qui investit 4,5 milliards$, Toyota qui mise sur l’hydrogène, etc…
Quant au nombre, vous avez raison, totalement raison. C’est exactement ce que je dis: les voitures électriques conviennent à certaines personnes, dans certaines conditions spécifiques. Ce n’est pas parce qu’on veut les multiplier par 10 d’ici 10 ans (le plan québécois dans ce domaine) que les infrastructures sont prêtes. En fait, dans votre commentaire, je ne lis que ce que la plupart des journalistes ont déjà écrit.
Bon point au sujet de la neutralité, ça va dans un sens comme dans l’autre. Quand je pense qu’il y a en plus des automobilistes qui défendent bec et âme une marque en plus d’en faire les paiements mensuels. Personnellement je pense que l’on a un problème de ”consommation” rendu là. Autre point au sujet des besoins versus les modèles disponibles. Avec le dernier traité de Paris ce qui était des ”besoins” hier risquent rapidement de se transformés en désirs demain. Nous nous entendrons pour dire que les VE actuels ”pour la masse” avec seulement une centaine de kilos d’autonomie ont été conçus à fin de satisfaire les lois Zéro Émission aux USA et ensuite comblée la plupart des besoins des utilisateurs qui n’ont besoins que de faire plus de +/- 80km dans une journée et qui pour moi ça ”fait la job” comme on dit. Je suis confiant que d’ici deux ans lorsque les modèles de 300km et plus seront disponibles incluant éventuellement même des SUV on ne sera plus vraiment en train d’en débattre.
Nous sommes au début de quelque chose. Le meilleur est avenir. D’ailleurs je persiste à croire que la voiture ne sera plus nécessairement le premier choix pour les déplacements en région urbaine dense d’ici quelques années. Il faudra réduire globalement notre consommation énergétique par habitant et que nous allons être beaucoup trop pour les infrastructures existantes qui n’auront pas été ajustées selon la démographie. L’urbanisme actuel en témoigne déjà.
Je vais prendre le temps de vous soumettre ma liste avec plaisir.
Pour les bornes, il est vrai que le réseau se développe d’une manière forcément inégale et inaccessible pour plusieurs, comme vous à partir de la Montérégie, mais il reste qu’il existait au moment de votre entrevue pour nombre de gens possédant une voiture électrique près de cet axe routier ainsi qu’a leur extrémité de ce trajet emblématique.
Donc, impossible pour vous de réaliser ce trajet en quelques heures, mais possible pour la plupart des propriétaires qui sont agglutinés le long de cette route très empruntée.
N’est-ce pas le genre de nuance que vos lecteurs ou auditeurs souhaiteraient connaître?
La précision est une des qualités de la conduite électrique et c’est aussi ce que bon nombre de leurs propriétaires apprécient dans leurs lectures ou écoutes.
Mais je ne saurai dire laquelle précède l’autre.
Monsieur Bouchard, je trouvais intéressant les discussions et commentaires de tous et chacun tout en comprenant que parfois, pour certains “mordus” de l’électrique, le jupon puisse dépasser légèrement. Toutefois, quand vous écrivez ci-haut “Soyons sérieux, le dirigeant même de ce site gagne une partie de sa vie en vendant des accessoires pour voitures électriques. ” je pense que vous dépassez toutes les bornes éthiques du “journalisme”. Vos mots sont totalement hors-propos et indignent de vos qualifications.
(Déclaration d’intérêt: j’ai possédé 10 thermiques, une Volt et maintenant une Tesla, achat financièrement totalement irrationnel dans mon cas, mais je l’assume 🙂 ).
Le seule bémol dans votre explication (avec laquelle je suis d’accord, je l’ai dit haut et fort à maintes reprises – les VE ne sont pas pour tout le monde mais font l’affaire pour certaines personnes), c’est que les vendeurs de voitures électriques, et les ardents défenseurs, la présente généralement comme une remplaçante totale, qualifiant ceux qui n’en ont pas de différents qualificatifs peu flatteurs. La Miata ne se présente pas comme un pick up, et en conséquence, personne ne les compare. Un VÉ se présente souvent comme une solution de rechange complète (lisez beaucoup de commentaires sur ce site même), alors qu’il ne remplit pas tous les besoins. Inévitablement, il faut le dire. La nuance n’est que dans le message: le VÉ convient en partie, et est une partie de la solution. Ce que je dis, répète et écrit depuis toujours. Les situations où les VÉ ne peuvent pas, ou difficilement, s’appliquer sont encore trop nombreuses pour ne pas les mentionner lors d’une évaluation objective.
Une fausseté parmi un million, je ne traite pas LES journalistes de vendus, je VOUS accuse de mentir sans retenu pour servir les intérêts du cartel petro-automobile. M. Santerre, ne perdez pas votre temps avec ce genre d’individu, ce sont des patineurs démagogues d’une malhonnêteté intellectuelle digne de nos pires politiciens et/ou des grandes gueules des radios poubelle.
rien de tel qu’un commentaire sans fondement et totalement gratuit, caché derrière un pseudonyme sur un forum anonyme pour établir sa crédibilité! Bravo Prad…..
Monsieur Bastien,
je vous inviterais à lire le premier paragraphe du texte mentionné, que je reproduis ici:
“La Nissan Leaf est toute électrique. Vivre à son volant, sans être propriétaire d’un chargeur, devient un défi de tous les instants. Je sais que je ne suis pas la clientèle-cible typique: résidant de la banlieue un peu plus lointaine, je travaille au cœur du centre-ville montréalais et pour avoir accès à une borne de recharge publique, je dois défrayer le coût d’accès au stationnement.”
Je pense que cela situe assez bien le contexte….
Pour le calcul, il suffit de savoir combien coûtait l’essence par litre au moment de la publication de l’article!
Mon cher Jean
ce n’est pas une accusation ni un reproche, mais un constat. Cela établit clairement que le propriétaire de ce site a un intérêt marqué et tire des revenus des voitures électriques. C’est un simple fait, indéniable et qui teinte inévitablement sa vision. Ce qui, dans mon esprit, lorsque c’est totalement assumé, n’a rien de répréhensible. Mais je ne voudrais pas qu’on l’appelle un journaliste cependant, en raison de cet intérêt déclaré certes, mais intérêt pécuniaire quand même.Cela n’a rien de hors éthique de ma part.
Le “soyons sérieux” s’appliquait à certains individus, transis de peur, qui postent sur ce forum sous des pseudonymes en me traitant de vendu et de menteur à la solde des cartels du pétrole. Vous admettrez avec moi que cette accusation, sans fondement, est définitivement plus grave et demandait une rectification.
Je ne tire aucun revenu autre que mes revenus de journaliste de mes écrits, et je ne l’ai jamais fait.
Déclaration d’intérêt: au cours des dernières années, j’ai testé presque tous les modèles de voitures électriques possibles, y compris certains modèles réservés au marché européen, en plus de tester des voitures thermiques. C’est mon rôle…. 🙂
Est-ce qu’on compare un “pick-up” à une MIATA? Et ensuite affirmer que la MIATA ne vaut rien parce que on peut pas transporter des feuilles de contreplaqués? Non évidement. Faudrait juste que les journalistes arrêtent de faire des comparaisons de ce genre avec les VÉ et les “pétroleuses”. Ce n’est pas pareil!
Les VÉ, ne convient pas à tous, mais tout de même à plusieurs. J’ai eu des Mercedes auparavant, une VOLT pendant trois ans et maintenant une SOUL EV et je fait Québec Montréal aller-retour dans la journée une quinzaine de fois par année. Faut juste prévoir un peu plus et espérer qu’une TESLA ne sera pas branché sur une BRCC. Prend pas trois jours ni une éternité. Disons entre 60 et 90 minutes de plus selon la saison, mais économise 60$ en essence contre 20$ aux bornes BRCC. Et charger à la maison revient à moins de 40% de ce cout pour 90 % de mon kilométrage.
Pas parfait les VÉ, mais jamais ne reviendrai en arrière.
Le seule bémol dans votre explication (avec laquelle je suis d’accord, je l’ai dit haut et fort à maintes reprises – les VE ne sont pas pour tout le monde mais font l’affaire pour certaines personnes), c’est que les vendeurs de voitures électriques, et les ardents défenseurs, la présente généralement comme une remplaçante totale, qualifiant ceux qui n’en ont pas de différents qualificatifs peu flatteurs. La Miata ne se présente pas comme un pick up, et en conséquence, personne ne les compare. Un VÉ se présente souvent comme une solution de rechange complète (lisez beaucoup de commentaires sur ce site même), alors qu’il ne remplit pas tous les besoins. Inévitablement, il faut le dire. La nuance n’est que dans le message: le VÉ convient en partie, et est une partie de la solution. Ce que je dis, répète et écrit depuis toujours. Les situations où les VÉ ne peuvent pas, ou difficilement, s’appliquer sont encore trop nombreuses pour ne pas les mentionner lors d’une évaluation objective.
Je vous remercie de votre très long commentaire auquel je ne répondrai que partiellement.
Nous avons testé une Leaf pendant plus de trois mois il y a quelques années, avec borne au bureau. C’est aussi pourquoi j’ai retesté la nouvelle Leaf.
Avant de répondre à des commentaires, j’apprécierais que vous lisiez mes articles publiés dans le passé où je précise:
1- que je ne suis pas le public cible
2- que je n’ai pas de borne à la maison
3- qu’une voiture électrique est une excellente solution urbaine si votre conjoint ou conjointe possède une voiture à essence (lire un article de septembre 2014 sur Autogo).
Si vous l’aviez fait, vous vous seriez épargné de longs passages de votre message!
Merci encore
M Bouchard, donc si on se fie aux données de l’article, vous considérez qu’il a coûté 2,62$ pour recharger 16,1 km sur une borne tarifée à 1$/h. En fait, la Leaf devait alors avoir besoin d’environ 3 kWh ce que la borne à 240 Volts peut fournir en 1/2 heure. Donc, si on l’avait débranchée après 1/2 heure, elle aurait été pleine et la recharge n’aurait coûté que 0,50$ soit 5 fois moins que le 9 l/100 km de votre conclusion. Mais si vous étiez resté au bureau pendant 4 heures, la recharge aurait coûté 4$ et la consommation équivalente aurait été 13,7 l/100 km.
Est-ce qu’il manque des données dans l’article pour bien comprendre?
En fait, j’ai débranché la voiture dans les dix minutes qui ont suivi la confirmation par mon application mobile que la recharge était complète. je vous avoue ne pas avoir tenu compte des capacités théoriques (c’est à dire de la charge en une demie-heure selon les normes) puisque ce n’est pas ce qui s’est produit. Quant à savoir si la borne, ou ma voiture, avait une déficience, je n’en sais rien. Tout ce que je sais, c’est combien il m’en a coûté. Pas de théorie, pas de complot, seulement une facture et une distance. C’est malheureusement tout ce dont on dispose pour effectuer ce genre de calcul!
Comme je suis rémunéré au nombre de commentaires, mon patron voudrait passer à un
autre appel tout en vous remerciant de ce beau record d’achalandage.
JACQUES DUVAL
Comme une Leaf 2015 se recharge en 5 heures sur le 240 Volts, ayant rechargée en 2,62 heures pour 16,1 km, elle aurait rechargé de la moitié environ de la capacité de la batterie; donc l’autonomie serait de l’ordre de 32 km!!!
Quand on prend des mesures pour tirer des conclusions importantes dans un article publié sur un site sérieux, il vaut mieux prendre plusieurs mesures et faire des contre vérifications.
Bonjour M. Bouchard, je possède un VÉ ( LEAF 2012 ) depuis 3 ans comme plusieurs qui ont émit un commentaire. Au départ la conception d’un VÉ a été élaborée par les fabricants pour un usage urbain dans le but de réduire les émissions polluantes dans les régions/états ou une loi les y obligent. Pour les autres pays/provinces, la demande est dictée par une économie a l’utilisation en rapport avec le prix de l’essence versus celui de l’électricité. Lorsque vous lisez qu’un VÉ se présente souvent comme une solution de rechange complète dans les commentaires véhiculés sur ce site et bien d’autres. Vous omettez volontairement de préciser qu’il est question dans la majorité des écrits, du ‘deuxième véhicule’ pour la famille. C’est précisément mon cas comme bien d’autres véhistes qui ont choisis de remplacer un des deux dinosaures ( Honda Civic 2007 ) par un VÉ, qui devient dans bien des cas le ‘premier véhicule’ familiale utilisé. Cela, grâce à la conduite de niveau supérieur que procure un VÉ. Vous mentionnez avoir fait l’essais de tous les véhicules électriques disponibles. Donc, je peux conclure que vous avez eu en main lors de vos essais un modèle populaire en particulier pour au moins une ou deux semaines. le Temps nécessaire pour bien assimiler toutes les particularités des fonctions de programmation et de conduite que peut offrir un VÉ et tout cela, dans différentes conditions climatiques, pour en optimiser l’autonomie. De plus, au départ de votre essais vous aviez en main toutes les informations relatives a cette fameuse ‘autonomie’ qui varie au grès de plusieurs facteurs. Infos sur l’autonomie, d’ailleurs fournis par tous les fabricants au grand public et disponibles depuis le tout début sur le WEB, que vous avez comparés. bien entendu, avec vos propres résultats obtenus. Tout cela évidemment, pour être en mesure de produire une analyse exhaustive et objective sur l’utilisation au quotidien d’un VÉ, qui selon plusieurs études, est d’environs 60 km en moyenne. Rendu d’essai d’un VÉ, qui d’ailleurs doit être plus élaboré que celui d’un véhicule à essence, vous en conviendrez. Comme les + et les – , qui font parties standard d’une analyse lors d’un essai, le chroniqueur automobile, s’il veut faire preuve de logique, se doit d’ajouter tous les frais d’utilisations ( essence, entretiens, etc ) d’un véhicule à essence a son prix de vente dans sa comparaison avec le coût d’un VÉ . Tout comme la problématique des vendeurs de VÉ qui se plaignent du temps nécessaire plus long pour transmettre les informations adéquates aux clients, produire une analyse d’essai valable d’un VÉ, pour un bon chroniqueur, demande plus de temps. Vous connaissez aussi l’utilisation des bornes publiques de niveau 2 ( L2 ) et les bornes de recharge rapide (BRCC ), comme tous les chroniqueurs automobiles du Québec qui ne possèdent pas de VÉ. Mais combien de ces chroniqueurs ou vous même, avez fait l’acquisition et l’installation ( dans la mesure du possible bien entendu ) d’une borne L2 a votre domicile. Car, c’est l’outil indispensable ( voir de base ) pour tout chroniqueur qui se respecte, lors d’un essai de VÉ, sur plusieurs jours ou semaines pour produire une analyse dès plus réaliste de l’utilisation au quotidien d’un VÉ. Essais qui vont devenir de plus en plus fréquent dans le future avec l’offre de modèle de VÉ en augmentation. Justement, cette borne L2 a domicile que la majorité des véhistes utilisent pour la recharge la plus économique d’un VÉ ( sauf celle gratuite ! ), qui permet aussi d’optimiser l’autonomie ( température froide ) et de maximiser le rendement d’un VÉ. Maximiser le rendement de son VÉ, en effectuant des déplacements sur de plus longue distance en utilisant les BRCC de plus en plus présentes. Même si cela doit exiger du temps supplémentaire au lieu d’utiliser un véhicule a essence et polluer, par conscience environnementale est tout a l’honneur de son utilisateur. M. Bouchard, si vous avez répondu dans la négation au sujet de votre borne L2 a domicile, je souhaite que le Père Noël vous en fasse cadeau. Car posséder une borne L2 a domicile, garage ou non, cela fait une énorme différence dans l’utilisation d’un VÉ et son appréciation, cela vous a probablement échappé. Peut être bien que le bon gouvernement acceptera de la créditer comme un outil de travail indispensable dans l’exercice de ses fonctions a tout chroniqueur automobile ne possédant pas de VÉ.
Est-ce qu’on compare un “pick-up” à une MIATA? Et ensuite affirmer que la MIATA ne vaut rien parce que on peut pas transporter des feuilles de contreplaqués? Non évidement. Faudrait juste que les journalistes arrêtent de faire des comparaisons de ce genre avec les VÉ et les “pétroleuses”. Ce n’est pas pareil!
Les VÉ, ne convient pas à tous, mais tout de même à plusieurs. J’ai eu des Mercedes auparavant, une VOLT pendant trois ans et maintenant une SOUL EV et je fait Québec Montréal aller-retour dans la journée une quinzaine de fois par année. Faut juste prévoir un peu plus et espérer qu’une TESLA ne sera pas branché sur une BRCC. Prend pas trois jours ni une éternité. Disons entre 60 et 90 minutes de plus selon la saison, mais économise 60$ en essence contre 20$ aux bornes BRCC. Et charger à la maison revient à moins de 40% de ce cout pour 90 % de mon kilométrage.
Pas parfait les VÉ, mais jamais ne reviendrai en arrière.
Le seule bémol dans votre explication (avec laquelle je suis d’accord, je l’ai dit haut et fort à maintes reprises – les VE ne sont pas pour tout le monde mais font l’affaire pour certaines personnes), c’est que les vendeurs de voitures électriques, et les ardents défenseurs, la présente généralement comme une remplaçante totale, qualifiant ceux qui n’en ont pas de différents qualificatifs peu flatteurs. La Miata ne se présente pas comme un pick up, et en conséquence, personne ne les compare. Un VÉ se présente souvent comme une solution de rechange complète (lisez beaucoup de commentaires sur ce site même), alors qu’il ne remplit pas tous les besoins. Inévitablement, il faut le dire. La nuance n’est que dans le message: le VÉ convient en partie, et est une partie de la solution. Ce que je dis, répète et écrit depuis toujours. Les situations où les VÉ ne peuvent pas, ou difficilement, s’appliquer sont encore trop nombreuses pour ne pas les mentionner lors d’une évaluation objective.
Monsieur Bastien,
Je vous fournirai une dernière réponse dans une discussion qui tourne en rond (voir mon commentaire sur l’intransigeance de certains apôtres des VÉ).
Quand je fais le test d’une voiture à essence, mon analyse se fait sur la consommation observée au cours de l’essai. Pourquoi en serait-il autrement avec une Leaf?
Je sais, vous serez insatisfait encore une fois.
Dommage….
Je vous remercie de votre très long commentaire auquel je ne répondrai que partiellement.
Nous avons testé une Leaf pendant plus de trois mois il y a quelques années, avec borne au bureau. C’est aussi pourquoi j’ai retesté la nouvelle Leaf.
Avant de répondre à des commentaires, j’apprécierais que vous lisiez mes articles publiés dans le passé où je précise:
1- que je ne suis pas le public cible
2- que je n’ai pas de borne à la maison
3- qu’une voiture électrique est une excellente solution urbaine si votre conjoint ou conjointe possède une voiture à essence (lire un article de septembre 2014 sur Autogo).
Si vous l’aviez fait, vous vous seriez épargné de longs passages de votre message!
Merci encore
Mais effectivement que j’ai lu l’article sur la LEAF 2015 et celle de la VOLT 2013. Mon commentaire précédent trop long a votre goût, n’a évidemment pas attiré votre attention sur le fait de rédiger une analyse d’essais routier pour un VÉ de façon plus exhaustive. Vous avez toutes les infos des fabricants a porté de la main et vous les transmettez de manière erronées. Dans le cas de VOLT vous écrivez.. (plusieurs heures si vous n’êtes pas dotés d’un chargeur haute vitesse) !!!! Ce n’est pas un chargeur haute vitesse, c’est une borne de recharge L2 (charge normale) que vous n’avez pas a votre domicile. Le chargeur fait partie intégrante de la VOLT. Comme j’ai mentionne ..’cela vous a probablement échappé’.. Et puis est ce qu’une hybride branchable va utiliser seulement sa batterie peut importe l’accélération ou la vitesse de déplacement ? La batterie d’une VOLT est tout autre que celle d’une hybride branchable. Avez résolue votre affirmation .. ‘ce que l’on appelle le procédé Voltec’ … avec toutes les infos mis a votre disposition par le fabricant. En ce qui concerne votre essai de la LEAF 2015, vous écrivez encore des infos erronées … ‘ malgré l’installation d’une batterie plus imposante et à recharge plus rapide de 17,1 kWh ‘ … Je vous laisse corrigé votre article par respect pour vos lecteurs qui doivent être assez confus. Par contre vous écrivez une vérité … ‘Non, le vrai problème… ce sont mes nerfs. Parce que je l’admets en toute sincérité, je ne parviens pas à les maitriser quand je vois l’autonomie descendre à la vitesse du son’ … Cela, comme je l’ai mentionné dans mon commentaire, parce qu’il est bien important d’assimilé toutes les particularités des fonctions d’un VÉ. Puis lorsque vous écrivez encore au sujet de la recharge … ‘je me suis branché… durant plus de 12 heures pour obtenir une recharge complète. Je le répète, sur un circuit domestique de 120 volts, et non sur une borne rapide’ … Je le répète, pas de chargeur rapide ou de borne rapide à la maison, seulement une borne de niveau 2 (L2), charge normale 240 Volt. C’est pour cela que j’ai écrit … ‘ je souhaite que le Père Noël vous en fasse cadeau. Car posséder une borne L2 a domicile, garage ou non, cela fait une énorme différence dans l’utilisation d’un VÉ et son appréciation pour vos prochains essais de VÉ et …. vos nerfs.
J’oubliais, M. Bouchard, corrigé aussi l’entrée en matière de votre article sur la LEAF 2015, lorsque vous écrivez … ‘La Nissan Leaf est toute électrique. Vivre à son volant, sans être propriétaire d’un chargeur, devient un défi de tous les instants’ … Le chargeur encore une fois est partie intégrante de la LEAF. Que ce soit pour une charge d’entretien niveau 1 (L1/120 Volts)) ou bien charge normale niveau 2 (L2/240 Volts) et utilise le même branchement, mais une borne différent. Seul la recharge rapide (BRCC/Borne Rapide Courant Continu) a son propre branchement. C’était très bien expliqué dans la manuel d’utilisation et sur le site de Nissan, même a votre premier essai de la LEAF, il y a quelques années. Peut être que la notion de l’électricité vous est inconnu, en tant que chroniqueur automobile c’est votre devoir de gratter un peu plus loin pour bien informer vos lecteurs.
On remarque ici la différence entre une personne qui possède une voiture électrique et une personne qui ne fait que la tester, C’sst comme sur les réseaux sociaux où une personne qui n’a pas de voiture électrique essaie de m’expliquer qu’une voiture à essence est mieux. J’ai été obligé de conduire un Ford Mustang décapotable pendant deux semaines lorsque j’étais en vacances, l’année dernière. J’avais peur de causer un accident, étant habitué de pouvoir accélérer rapidement avec ma Leaf pour entrer dans le flot de la circulation.
Remarquez que sur les différents forums, lorsqu’une personne pose des questions sur ce type de véhicule, on lui demande toujours des détails sur ce qu’il fera avec, pour lui dire si ça répondra à ces besoins ou non.
Comme je suis rémunéré au nombre de commentaires, mon patron voudrait passer à un
autre appel tout en vous remerciant de ce beau record d’achalandage.
JACQUES DUVAL
M. Bouchard, si quelqu’un faisait l’essai d’une Civic et que, pour mesurer sa consommation, s’il roulait sur 16 km, faisait le plein et concluait: 15 litres /100 km. Qu’il n’avait rien vérifié d’autre et qu’il argumentait “ce sont mes données, point”. Que diriez-vous?
“l’intransigeance de certains apôtres des VÉ”? Une façon de s’en tirer quand on est coincé?
Bonjour M. Bouchard, je possède un VÉ ( LEAF 2012 ) depuis 3 ans comme plusieurs qui ont émit un commentaire. Au départ la conception d’un VÉ a été élaborée par les fabricants pour un usage urbain dans le but de réduire les émissions polluantes dans les régions/états ou une loi les y obligent. Pour les autres pays/provinces, la demande est dictée par une économie a l’utilisation en rapport avec le prix de l’essence versus celui de l’électricité. Lorsque vous lisez qu’un VÉ se présente souvent comme une solution de rechange complète dans les commentaires véhiculés sur ce site et bien d’autres. Vous omettez volontairement de préciser qu’il est question dans la majorité des écrits, du ‘deuxième véhicule’ pour la famille. C’est précisément mon cas comme bien d’autres véhistes qui ont choisis de remplacer un des deux dinosaures ( Honda Civic 2007 ) par un VÉ, qui devient dans bien des cas le ‘premier véhicule’ familiale utilisé. Cela, grâce à la conduite de niveau supérieur que procure un VÉ. Vous mentionnez avoir fait l’essais de tous les véhicules électriques disponibles. Donc, je peux conclure que vous avez eu en main lors de vos essais un modèle populaire en particulier pour au moins une ou deux semaines. le Temps nécessaire pour bien assimiler toutes les particularités des fonctions de programmation et de conduite que peut offrir un VÉ et tout cela, dans différentes conditions climatiques, pour en optimiser l’autonomie. De plus, au départ de votre essais vous aviez en main toutes les informations relatives a cette fameuse ‘autonomie’ qui varie au grès de plusieurs facteurs. Infos sur l’autonomie, d’ailleurs fournis par tous les fabricants au grand public et disponibles depuis le tout début sur le WEB, que vous avez comparés. bien entendu, avec vos propres résultats obtenus. Tout cela évidemment, pour être en mesure de produire une analyse exhaustive et objective sur l’utilisation au quotidien d’un VÉ, qui selon plusieurs études, est d’environs 60 km en moyenne. Rendu d’essai d’un VÉ, qui d’ailleurs doit être plus élaboré que celui d’un véhicule à essence, vous en conviendrez. Comme les + et les – , qui font parties standard d’une analyse lors d’un essai, le chroniqueur automobile, s’il veut faire preuve de logique, se doit d’ajouter tous les frais d’utilisations ( essence, entretiens, etc ) d’un véhicule à essence a son prix de vente dans sa comparaison avec le coût d’un VÉ . Tout comme la problématique des vendeurs de VÉ qui se plaignent du temps nécessaire plus long pour transmettre les informations adéquates aux clients, produire une analyse d’essai valable d’un VÉ, pour un bon chroniqueur, demande plus de temps. Vous connaissez aussi l’utilisation des bornes publiques de niveau 2 ( L2 ) et les bornes de recharge rapide (BRCC ), comme tous les chroniqueurs automobiles du Québec qui ne possèdent pas de VÉ. Mais combien de ces chroniqueurs ou vous même, avez fait l’acquisition et l’installation ( dans la mesure du possible bien entendu ) d’une borne L2 a votre domicile. Car, c’est l’outil indispensable ( voir de base ) pour tout chroniqueur qui se respecte, lors d’un essai de VÉ, sur plusieurs jours ou semaines pour produire une analyse dès plus réaliste de l’utilisation au quotidien d’un VÉ. Essais qui vont devenir de plus en plus fréquent dans le future avec l’offre de modèle de VÉ en augmentation. Justement, cette borne L2 a domicile que la majorité des véhistes utilisent pour la recharge la plus économique d’un VÉ ( sauf celle gratuite ! ), qui permet aussi d’optimiser l’autonomie ( température froide ) et de maximiser le rendement d’un VÉ. Maximiser le rendement de son VÉ, en effectuant des déplacements sur de plus longue distance en utilisant les BRCC de plus en plus présentes. Même si cela doit exiger du temps supplémentaire au lieu d’utiliser un véhicule a essence et polluer, par conscience environnementale est tout a l’honneur de son utilisateur. M. Bouchard, si vous avez répondu dans la négation au sujet de votre borne L2 a domicile, je souhaite que le Père Noël vous en fasse cadeau. Car posséder une borne L2 a domicile, garage ou non, cela fait une énorme différence dans l’utilisation d’un VÉ et son appréciation, cela vous a probablement échappé. Peut être bien que le bon gouvernement acceptera de la créditer comme un outil de travail indispensable dans l’exercice de ses fonctions a tout chroniqueur automobile ne possédant pas de VÉ.
Je vous remercie de votre très long commentaire auquel je ne répondrai que partiellement.
Nous avons testé une Leaf pendant plus de trois mois il y a quelques années, avec borne au bureau. C’est aussi pourquoi j’ai retesté la nouvelle Leaf.
Avant de répondre à des commentaires, j’apprécierais que vous lisiez mes articles publiés dans le passé où je précise:
1- que je ne suis pas le public cible
2- que je n’ai pas de borne à la maison
3- qu’une voiture électrique est une excellente solution urbaine si votre conjoint ou conjointe possède une voiture à essence (lire un article de septembre 2014 sur Autogo).
Si vous l’aviez fait, vous vous seriez épargné de longs passages de votre message!
Merci encore
Mais effectivement que j’ai lu l’article sur la LEAF 2015 et celle de la VOLT 2013. Mon commentaire précédent trop long a votre goût, n’a évidemment pas attiré votre attention sur le fait de rédiger une analyse d’essais routier pour un VÉ de façon plus exhaustive. Vous avez toutes les infos des fabricants a porté de la main et vous les transmettez de manière erronées. Dans le cas de VOLT vous écrivez.. (plusieurs heures si vous n’êtes pas dotés d’un chargeur haute vitesse) !!!! Ce n’est pas un chargeur haute vitesse, c’est une borne de recharge L2 (charge normale) que vous n’avez pas a votre domicile. Le chargeur fait partie intégrante de la VOLT. Comme j’ai mentionne ..’cela vous a probablement échappé’.. Et puis est ce qu’une hybride branchable va utiliser seulement sa batterie peut importe l’accélération ou la vitesse de déplacement ? La batterie d’une VOLT est tout autre que celle d’une hybride branchable. Avez résolue votre affirmation .. ‘ce que l’on appelle le procédé Voltec’ … avec toutes les infos mis a votre disposition par le fabricant. En ce qui concerne votre essai de la LEAF 2015, vous écrivez encore des infos erronées … ‘ malgré l’installation d’une batterie plus imposante et à recharge plus rapide de 17,1 kWh ‘ … Je vous laisse corrigé votre article par respect pour vos lecteurs qui doivent être assez confus. Par contre vous écrivez une vérité … ‘Non, le vrai problème… ce sont mes nerfs. Parce que je l’admets en toute sincérité, je ne parviens pas à les maitriser quand je vois l’autonomie descendre à la vitesse du son’ … Cela, comme je l’ai mentionné dans mon commentaire, parce qu’il est bien important d’assimilé toutes les particularités des fonctions d’un VÉ. Puis lorsque vous écrivez encore au sujet de la recharge … ‘je me suis branché… durant plus de 12 heures pour obtenir une recharge complète. Je le répète, sur un circuit domestique de 120 volts, et non sur une borne rapide’ … Je le répète, pas de chargeur rapide ou de borne rapide à la maison, seulement une borne de niveau 2 (L2), charge normale 240 Volt. C’est pour cela que j’ai écrit … ‘ je souhaite que le Père Noël vous en fasse cadeau. Car posséder une borne L2 a domicile, garage ou non, cela fait une énorme différence dans l’utilisation d’un VÉ et son appréciation pour vos prochains essais de VÉ et …. vos nerfs.
J’oubliais, M. Bouchard, corrigé aussi l’entrée en matière de votre article sur la LEAF 2015, lorsque vous écrivez … ‘La Nissan Leaf est toute électrique. Vivre à son volant, sans être propriétaire d’un chargeur, devient un défi de tous les instants’ … Le chargeur encore une fois est partie intégrante de la LEAF. Que ce soit pour une charge d’entretien niveau 1 (L1/120 Volts)) ou bien charge normale niveau 2 (L2/240 Volts) et utilise le même branchement, mais une borne différent. Seul la recharge rapide (BRCC/Borne Rapide Courant Continu) a son propre branchement. C’était très bien expliqué dans la manuel d’utilisation et sur le site de Nissan, même a votre premier essai de la LEAF, il y a quelques années. Peut être que la notion de l’électricité vous est inconnu, en tant que chroniqueur automobile c’est votre devoir de gratter un peu plus loin pour bien informer vos lecteurs.
On remarque ici la différence entre une personne qui possède une voiture électrique et une personne qui ne fait que la tester, C’sst comme sur les réseaux sociaux où une personne qui n’a pas de voiture électrique essaie de m’expliquer qu’une voiture à essence est mieux. J’ai été obligé de conduire un Ford Mustang décapotable pendant deux semaines lorsque j’étais en vacances, l’année dernière. J’avais peur de causer un accident, étant habitué de pouvoir accélérer rapidement avec ma Leaf pour entrer dans le flot de la circulation.
Remarquez que sur les différents forums, lorsqu’une personne pose des questions sur ce type de véhicule, on lui demande toujours des détails sur ce qu’il fera avec, pour lui dire si ça répondra à ces besoins ou non.
Je m’abstenais d’utiliser ces mots, mais puisque vous les avez mis en texte M. Bouchard, je crois que c’est plutôt vous qui tourné en rond et non pas la discution. Si les principes de base de l’électricité vous échappe, borne de recharge, kWh, km / kWh , ampérage, il faut faire une mise à niveau. Cela pour le bénéfice de vos lecteurs, mieux comprendre les particularités d’un VÉ et surtout moins souffrir d’anxiété.
Bonjour Messieurs Bouchard et Savoie,
Mon commentaire sur les journalistes, croniqueurs et croniqueux ne visait personne en particulier. Préambules, je crois que les vé sont au début de leur développement; ils sont maintenant une solution de transport viables pour plus de gens que la croyance populaire le véhicule; ils sont et seront de plus en plus incontournables sur le marché automobile; je suis “vendu” à cette motorisation. Et mon commentaire est un peu long 😉
Non l’électrique n’est pas pour tous, pour tout les besoins, partout. Ce n’est pas non plus une panacée qui va “sauver le monde”. Par contre, ça peux donner un mausus de bon coup de main à réduire la pollution laissée aux générations futures. Effectivement c’est un ensemble de gestes quotidiens qui font la différence; réduire notre consommation en général et de pétrole en particulier.
Au niveau des journalistes et croniqueurs, c’est le manque de conaissances que je déplore. Entendre une personne dont c’est le job d’analyser les différents aspect d’une auto, dire des faussetés ou âneries me choque. Encore plus quand ce sont des énormités; si un collègue à vous disait qu’une Subaru a deux roues motrices, qu’un Hummer tiens la route comme une porsche… Malheureusement ce sont des énormités de cette ampleur qui sont trop souvent entendus sur le vé.
Messieurs je n’ai pas suivi vos articles, mon commentaire est général et non une critique de votre travail à vous en particulier. Au contraire votre présence sur ce site démontre votre curiosité journalistique. Il n’y a aucune obligation à être tous du même avis.
Ce site n’est pas un regroupement de fanatiques voulant conquérir la terre. Seulement des gens ordinaires se disant:”hey si on pouvait rouler en char sans filer cheap de scrapper la terre de nos enfants ça serait-tu le fun”. Ces gens cherche de l’information qui est trop rare dans les médias.
Parfois il faut jetter un pavé dans la marre pour susciter la réflexion.
Merci Monsieur Bernier
ce genre de commentaire, constructif et sans attaque personnelle, est exactement le genre de discussion auquel j’adhère!
Merci
Bonjour Messieurs Bouchard et Savoie,
Mon commentaire sur les journalistes, croniqueurs et croniqueux ne visait personne en particulier. Préambules, je crois que les vé sont au début de leur développement; ils sont maintenant une solution de transport viables pour plus de gens que la croyance populaire le véhicule; ils sont et seront de plus en plus incontournables sur le marché automobile; je suis “vendu” à cette motorisation. Et mon commentaire est un peu long 😉
Non l’électrique n’est pas pour tous, pour tout les besoins, partout. Ce n’est pas non plus une panacée qui va “sauver le monde”. Par contre, ça peux donner un mausus de bon coup de main à réduire la pollution laissée aux générations futures. Effectivement c’est un ensemble de gestes quotidiens qui font la différence; réduire notre consommation en général et de pétrole en particulier.
Au niveau des journalistes et croniqueurs, c’est le manque de conaissances que je déplore. Entendre une personne dont c’est le job d’analyser les différents aspect d’une auto, dire des faussetés ou âneries me choque. Encore plus quand ce sont des énormités; si un collègue à vous disait qu’une Subaru a deux roues motrices, qu’un Hummer tiens la route comme une porsche… Malheureusement ce sont des énormités de cette ampleur qui sont trop souvent entendus sur le vé.
Messieurs je n’ai pas suivi vos articles, mon commentaire est général et non une critique de votre travail à vous en particulier. Au contraire votre présence sur ce site démontre votre curiosité journalistique. Il n’y a aucune obligation à être tous du même avis.
Ce site n’est pas un regroupement de fanatiques voulant conquérir la terre. Seulement des gens ordinaires se disant:”hey si on pouvait rouler en char sans filer cheap de scrapper la terre de nos enfants ça serait-tu le fun”. Ces gens cherche de l’information qui est trop rare dans les médias.
Parfois il faut jetter un pavé dans la marre pour susciter la réflexion.
Merci Monsieur Bernier
ce genre de commentaire, constructif et sans attaque personnelle, est exactement le genre de discussion auquel j’adhère!
Merci
M Bouchard: “sans attaque personnelle” sauf quand vous m’écrivez “l’intransigeance de certains apôtres des VÉ” alors qu’aucune de mes interventions ne vous attaquait personnellement.
Je répète donc: “M. Bouchard, si quelqu’un faisait l’essai d’une Civic et que, pour mesurer sa consommation, s’il roulait sur 16 km, faisait le plein et concluait: 15 litres /100 km. Qu’il n’avait rien vérifié d’autre et qu’il argumentait “ce sont mes données, point”. Que diriez-vous? “
Merci Monsieur Bernier
ce genre de commentaire, constructif et sans attaque personnelle, est exactement le genre de discussion auquel j’adhère!
Merci
M Bouchard: “sans attaque personnelle” sauf quand vous m’écrivez “l’intransigeance de certains apôtres des VÉ” alors qu’aucune de mes interventions ne vous attaquait personnellement.
Je répète donc: “M. Bouchard, si quelqu’un faisait l’essai d’une Civic et que, pour mesurer sa consommation, s’il roulait sur 16 km, faisait le plein et concluait: 15 litres /100 km. Qu’il n’avait rien vérifié d’autre et qu’il argumentait “ce sont mes données, point”. Que diriez-vous? “