2025 : L’année qui prouve que les efforts environnementaux portent leurs fruits – et que l’électrification fait partie de la solution

Alors que 2025 tire à sa fin et que le cynisme ambiant pourrait nous faire croire que rien ne bouge en environnement, Radio-Canada vient de publier une compilation rafraîchissante de 10 bonnes nouvelles environnementales qui prouvent le contraire. Ces victoires, petites et grandes, démontrent qu’avec de la volonté collective et des actions concrètes, nous pouvons inverser la tendance. Et parmi ces succès, la Norvège nous montre la voie avec 95,5% de parts de marché pour les véhicules électriques – une première mondiale qui illustre parfaitement comment la transition énergétique peut devenir réalité.

Des victoires qui s’accumulent, un momentum qui se crée

La tortue verte, considérée en danger depuis 1982, vient d’être retirée de la liste des espèces menacées grâce à des décennies d’efforts de conservation. Sa population a augmenté de 28% depuis 1970. De même, trois nouvelles aires marines protégées seront gérées par des Premières Nations au Canada, reconnaissant enfin leur expertise millénaire dans la protection des écosystèmes. Montréal maintient sa place parmi les 15 meilleures villes cyclables au monde, tandis que Québec fait son entrée au palmarès.

Ces succès ne sont pas des coïncidences isolées. Ils représentent le fruit d’efforts soutenus, de politiques courageuses et de citoyens engagés. Exactement comme la transition vers les véhicules électriques au Québec.

La Norvège : la preuve vivante que l’électrification est possible

Le cas norvégien est particulièrement inspirant pour nous, Québécois. Avec 95,5% de parts de marché pour les VE en 2025, ce pays démontre qu’une transition complète est non seulement possible, mais imminente. Ils sont sur le point de devenir le premier pays à bannir complètement la vente de nouveaux véhicules à essence.

Pendant ce temps, au Québec, malgré les turbulences du marché et la fin progressive du programme Roulez vert, nous maintenons notre leadership nord-américain. Nos 335 000 véhicules électriques représentent 33% du parc canadien, et notre hydroélectricité propre nous donne un avantage unique pour maximiser les bénéfices environnementaux de cette transition.

L’effet domino positif de l’électrification

Chaque VE sur nos routes contribue à un cercle vertueux. Moins de pollution atmosphérique signifie des écosystèmes plus sains, comme ces refuges marins nouvellement protégés. L’air plus pur dans nos villes aide les athlètes comme Marion Thénault à performer sans compromettre leur santé. Les économies réalisées sur l’essence peuvent être réinvesties dans d’autres initiatives vertes.

La Cour internationale de justice vient d’ailleurs de statuer que les États ont l’obligation légale de limiter les dommages environnementaux – une décision historique qui renforce la légitimité de toutes nos actions, incluant l’électrification des transports.

Roulez Électrique : acteur d’un mouvement global

Pour une entreprise comme Roulez Électrique, ces nouvelles confirment que nous sommes du bon côté de l’histoire. Chaque borne installée, chaque client accompagné dans sa transition, chaque système solaire intégré contribue à cette vague de changements positifs.

Imaginez les bonnes nouvelles de 2030 ou 2035 : “Le Québec atteint 2 millions de VE”, “Montréal élimine le smog hivernal grâce à l’électrification”, “Les urgences pédiatriques voient une baisse de 40% des cas d’asthme”. Ces futurs titres ne sont pas de l’utopie – ils sont la suite logique des efforts que nous déployons aujourd’hui.

Un appel à l’optimisme actif

Ces 10 bonnes nouvelles nous rappellent une vérité fondamentale : le défaitisme est le pire ennemi du progrès. Quand des pays unis dénoncent la désinformation climatique, quand Vogue bannit la fourrure, quand des îles Marshall créent des aires protégées grandes comme la Suisse, ils nous montrent que le changement est possible.

L’électrification des transports s’inscrit dans cette dynamique. Elle n’est pas qu’une mode passagère ou une obligation gouvernementale – c’est notre contribution concrète à un mouvement planétaire qui porte ses fruits.

Alors oui, 2026 verra la fin du programme Roulez vert. Mais elle verra aussi, espérons-le, le Québec franchir de nouveaux jalons dans sa transition énergétique. Car comme ces 10 bonnes nouvelles le prouvent : quand nous agissons collectivement avec détermination, la planète nous le rend au centuple.