Chers lecteurs, je considère Jacques Duval comme mon ami et je suis TRÈS FIER de pouvoir compter sur lui en tant que chroniqueur régulier sur roulezelectrique.com. Je remercie le commanditaire Bourgeois Chevrolet qui rend cela possible. Il nous partagera sa propre expérience, bien sûr, mais aussi émettra son opinion sur l’évolution de tout «l’écosystème» qui a trait à l’électrification des transports.
Sylvain Juteau
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J’ignore si la nouvelle est répandue, mais j’ai été agréablement surpris l’autre jour en récupérant ma Tesla au Valet Park de l’aéroport Montréal-Trudeau. Je rentrais de Las Vegas et je m’apprêtais à payer 105 $ (35 $ par jour), le montant assez costaud exigé pour ce service spécial. En apercevant ma voiture, l’employé m’a demandé si j’étais au courant que les autos électriques bénéficiaient d’un rabais de 40 % sur le coût du stationnement, ce qui ramène le tarif quotidien autour de 21,50 $.
Je n’avais pas fini de les congratuler pour cette belle initiative quand l’employé m’a montré la station de recharge et ses deux bornes mises à la disposition des clients. C’est le genre d’incitatif que nous avait promis le distingué ministre des Transports en avril dernier, mais on attend toujours.
LA TESLA ET LES LIENS D’AMITIÉ
Mon bon ami Denis Perrier, l’ancien propriétaire des bijouteries LSM, conduisait jusqu’ici une BMW de Série 7 avec laquelle les problèmes mécaniques se répétaient constamment. On estimait sa prochaine réparation autour de 17 000 dollars. La fiabilité chez eux, c’est un vain mot, croyez-moi.
J’ai donc convaincu mon ami de se tourner vers la Tesla et dès sa première visite au centre de la rue Ferrier, il a signé son contrat. Et il m’a avoué il y a quelques jours que c’était le meilleur achat qu’il avait fait de toute sa vie.
À propos d’amitié justement, Tesla pourrait adopter comme slogan une phrase dans le genre « Comment se faire des amis ».
Je sortais l’autre jour du magasin général de West Brome près de chez moi quand j’ai eu à faire face à un barrage de questions sur l’auto. Deux couples très sympathiques se sont montrés fort curieux d’en savoir davantage sur la Tesla dont ils avaient entendu parler, contrairement à certaines personnes qui sont d’une ignorance crasse et dont on se demande s’ils vivent sur la même planète tellement ils sont incultes. Même que l’un de nos interlocuteurs était un fanatique d’automobiles, fier propriétaire d’une Camaro 1968 gonflée à bloc. Résidant de Danville, il nous a invités à faire un détour par chez lui afin d’admirer sa voiture de collection. On ira peut-être se brancher chez Lorraine et Sylvain Coté un de ces jours. Il n’y a rien comme une auto électrique pour nouer des amitiés.
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Commanditaire qui a rendu cette chronique possible :
