Après une longue attente, les tout premiers Tesla Cybertruck ont finalement été livrés au Québec la semaine dernière. Cet événement très attendu a fait grand bruit, attirant l’attention des médias et des passionnés de véhicules électriques partout dans la province. Mais l’intérêt pour le Cybertruck ne s’est pas limité aux frontières québécoises : en Slovaquie, à des milliers de kilomètres, il a établi un record impressionnant de vitesse de charge sur une borne de recharge de 600 kW lors d’un test.
Lors du test, le Cybertruck a été branché sur une borne de recharge rapide de 600 kW à Bratislava, en Slovaquie. Avec une batterie démarrant à seulement 7 %, la puissance de charge a rapidement grimpé pour atteindre un pic impressionnant de 405 kW. Mais ce qui mérite vraiment notre attention, ce ne sont pas seulement les chiffres bruts, mais la façon dont la charge s’est répartie dans le temps.
Les vrais temps à retenir : 7 % à 50 % en moins de 15 minutes
Regardons de plus près le graphique fourni :
- De 7 % à 50 % : Ce palier a été atteint en moins de 15 minutes, une performance qui place le Cybertruck parmi les leaders en matière de recharge rapide. Cette vitesse est idéale pour les conducteurs souhaitant récupérer une grande autonomie rapidement, par exemple lors d’une courte pause.
- De 7 % à 70 % : En 25 minutes, le Cybertruck atteint 70 % de charge, soit environ trois quarts de la batterie. Cela équivaut à un ajout suffisant pour parcourir des centaines de kilomètres, rendant ces premières minutes particulièrement avantageuses.
Un avenir prometteur pour le Cybertruck
Selon Tesla, le Cybertruck pourrait à l’avenir supporter une puissance de charge allant jusqu’à 640 kW, bien que cette capacité ne soit pas encore disponible dans les infrastructures actuelles. Ce potentiel montre que le Cybertruck est conçu pour évoluer avec les avancées technologiques à venir dans le domaine de la recharge.
Actuellement, le réseau Supercharger de Tesla limite la charge du Cybertruck à 250 kW, une puissance nettement inférieure à celle atteinte lors de ce récent test. Cette restriction n’est pas liée aux capacités du véhicule, mais plutôt aux limites de l’infrastructure actuellement en place.
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