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TESLA MODEL S P90D LUDICROUS : DANS LE TAPIS SOUS LA PLUIE

Chers lecteurs, je considère Jacques Duval comme mon ami et je suis TRÈS FIER de pouvoir compter sur lui en tant que chroniqueur régulier sur roulezelectrique.com. Je remercie le commanditaire Bourgeois Chevrolet qui rend cela possible.  Il nous partagera sa propre expérience, bien sûr, mais aussi émettra son opinion sur l’évolution de tout «l’écosystème» qui a trait à l’électrification des transports.

Sylvain Juteau

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De passage à ICAR où se tenait la grande fête de l’automobile organisée à l’occasion du demi-siècle du Guide de l’auto, j’ai eu la joie de mettre la main sur la dernière version de notre chère Tesla Model  S, celle qui se démarque « physiquement » par la seule présence d’un trait sous les trois caractères, P90D, de sa dénomination. Si la carrosserie cache bien la vraie nature de la bête, l’histoire est toute autre sous ses capots où se glissent deux moteurs dont la puissance combinée n’est pas révélée, mais que j’estimerais à 750 ch.

Reçue un peu froidement par quelques-uns d’entre nous, cette version du Model S dont on m’avait caché la présence au centre Tesla de la rue Ferrier  (Renaud devient discret) m’a révélé quelque chose de bien plus spectaculaire que sa puissance démentielle. J’ai été particulièrement ébloui par son comportement sous la pluie. Car, il a plu toute la journée lors de cette fameuse fête et le circuit n’aurait pu être moins fréquentable.

Sans que j’aie eu le temps de boucler ma ceinture, trois braves avaient déjà déposé leur carcasse sur trois des 7 sièges (incluant l’espace enfants).

Le rapport poids-puissance en prenait donc pour son rhume.

À FOND LA CAISSE

Dès le départ,  mon pied droit veut défoncer le plancher et il en résulte une accélération capable « d’ironiser  à peu près tout ce qui roule sur cette planète ». Est-ce le poids supplémentaire ou autre chose,  je l’ignore, mais je ne suis pas sûr que j’accepterais de payer 10 000 $ pour obtenir ces accélérations « ludicrous ». Si l’on me les offre en échange de « services rendus », on peut s’en parler.

Non, ce qui m’a jeté par terre dans cette D à tout casser, c’est sa tenue en virage et son freinage dans des conditions qui auraient pu nous expédier dans le décor ou dans le trajet de ce camion qui, venu de nulle part, est soudainement apparu dans mon champ de vision. La pugnacité de la traction intégrale joue évidemment un rôle crucial tant sous la pluie que dans les accumulations d’eau qui inondent la piste.  

Pour votre information, la voiture roulait sur des Michelin de 21 pouces, dont les performances, jumelées à celles du châssis de la Tesla, m’ont coupé le souffle. J’ai tout fait (enfin presque) pour donner la frousse à mes passagers, sans succès. Et jamais je n’ai ressenti la sauvage entrée en service de l’antipatinage comme cela se produit dans plusieurs voitures équivalentes d’un même gabarit.

En somme, Tesla n’a pas fini de nous étonner.

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Commanditaire qui a rendu cette chronique possible :
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